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Ce roman, traduit en anglais de l’original coréen, explore comment les membres individuels d’une famille sont traumatisés par la disparition soudaine et inexpliquée de « Maman ». Alors que le récit explore la perte, l’auto-récrimination et, dans certains cas, la découverte de soi vécue à la suite de la disparition de maman, il aborde également des thèmes liés au sacrifice de soi des mères, à la relation entre le passé et le présent et au changement nature de l’identité.
La première partie de l’histoire, « Nobody Knows », est écrite du point de vue à la première personne de la fille aînée de maman, dont le nom n’est révélé qu’à la deuxième section du roman. Sa narration décrit les tentatives de la famille pour retrouver maman qui s’est séparée de son mari, père, alors qu’ils se dépêchaient de traverser la gare très fréquentée de Séoul, en contemplant les diverses circonstances inhabituelles qui auraient pu amener maman et père à la gare à ce moment précis. Le narrateur contemple également les relations du narrateur avec maman et aussi avec le frère cadet du narrateur, Hyong-Chol, très performant et très ressenti, à qui maman a consacré une grande partie de son temps et de son énergie.
La deuxième section du roman, « Je suis désolé, Hyong-chol », est racontée du point de vue à la troisième personne de Hyong-chol lui-même qui se demande ce qu’il faisait au moment où maman a disparu, s’inquiète de savoir comment la retrouver et commence à se sentir coupable de ne pas être un meilleur fils. Alors que Hyong-chol et Chi-hon suivent toutes les pistes possibles alors qu’ils tentent de retrouver maman, ils découvrent qu’elle suit quelque chose d’un modèle, visitant tous les endroits où Hyong-chol a vécu ou travaillé, ou les deux. Au fil des recherches, Hyong-chol se souvient comment maman l’a poussé à bien réussir ses examens, à quel point elle a été déçue lorsqu’il a échoué à l’examen d’entrée à l’université, comment elle a continué à faire des sacrifices pour lui et, finalement, à quel point il l’a traitée.
La troisième section du roman, « I’m Home » est racontée d’un point de vue similaire à celui de la première section – c’est-à-dire d’un narrateur à la première personne parlant de lui-même à la troisième personne (c’est-à-dire se référant à lui-même comme « vous » ). Dans ce cas, le narrateur est Père, luttant pour venir à bout de la disparition de sa femme, avec ses souvenirs de sa vie, avec son auto-récrimination de ne pas être un meilleur mari, et avec la découverte surprenante de sa relation avec un local orphelinat. Pendant ce temps, le mystère de ce qui est arrivé à maman s’approfondit, bien que Hyong-chol et Chi-hon commencent à se demander s’ils vont un jour la retrouver.
Dans la quatrième section du roman, « Another Woman », le narrateur est maman elle-même. Dans un langage et une formulation qui suggèrent qu’elle est décédée, ou du moins qu’elle existe sur un plan spirituel différent, maman décrit avoir rendu visite à sa fille cadette préférée (et s’inquiétant qu’elle, la fille, perde son sens de soi) et un ami masculin (qui était une confidente et peut-être plus). Elle lui rend également visite à la maison de son père et, lorsqu’elle découvre que son père n’est pas là, explore la maison pièce par pièce, revivant des moments importants de sa vie. À la fin de cette section, la narration décrit la rencontre de maman avec sa propre maman et le réconfort qu’elle trouve dans ses bras.
Le récit se termine par un épilogue, écrit dans le même style narratif que les première et troisième sections et se concentrant à nouveau sur Chi-hon, qui a impulsivement rejoint son petit ami lors d’un voyage à Rome. Le laissant derrière dans leur chambre d’hôtel, elle se promène dans les rues anciennes, lisant à un moment donné une lettre envoyée par sa sœur dans laquelle la sœur décrit les changements dans ses sentiments et ses perspectives depuis la disparition de maman. Plus tard, Chi-hon se rend au Vatican où elle est en mesure d’honorer l’un des souhaits les plus chers de maman et où plus tard, elle chuchote une prière à la Vierge Marie pour « s’il vous plaît, prenez soin de maman ».
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