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La version de ce poème utilisée pour créer ce guide d’étude apparaît dans : Shelley, Percy Bysshe. « Ozymandias ». https://www.poetryfoundation.org/poems/46565/ozymandias.
Notez que les citations entre parenthèses dans le guide font référence aux lignes du poème dont les citations sont tirées.
« Ozymandias » est un poème en pentamètre iambique de 14 lignes, connu sous le nom de sonnet, écrit par le poète romantique anglais Percy Bysshe Shelley. Écrit à l’époque de l’acquisition par les Britanniques du Younger Memnon, partie d’une ancienne statue égyptienne du pharaon Ramsès II, « Ozymandias » constituait la contribution de Shelley à une compétition amicale avec le banquier-écrivain Horace Smith. Les deux hommes ont composé des sonnets basés sur un passage de l’ancien historien grec Diodorus Siculus concernant une statue colossale d’Ozymandias, le nom grec de Ramsès II. Shelley n’a jamais personnellement posé les yeux sur le jeune Memnon ou sur la statue mentionnée par Diodore, faisant de son poème un témoignage du pouvoir de l’inspiration verbale, ainsi que de la mode de l’Égypte ancienne dans l’Angleterre du XIXe siècle. Bien qu’Ozymandias, ses œuvres et même la statue massive attestant de son pouvoir aient disparu depuis longtemps, les mots décrivant cette statue demeurent.
Le poème s’ouvre sur la rencontre de l’orateur avec un ancien voyageur, qui raconte l’histoire d’une statue géante et fragmentée au milieu d’un désert autrement vide. Le voyageur décrit les jambes de la statue, encore debout dans le sable, et sa tête à demi enfouie, avant de relater l’inscription qui figure sur son socle. L’inscription proclame la puissance d’Ozymandias, le roi représenté dans la statue, et défie les autres dirigeants d’égaler ses œuvres. Le voyageur clôt son histoire, et le poème dans son ensemble, en notant qu’il ne reste rien d’autre autour des ruines de la statue qu’un vaste désert sans fin.
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