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Le poème de Sandra Cisneros « Une fois de plus, je prouve la théorie de la relativité » est issu de son troisième livre de poésie, Femme lâche (1994). Le poème est une célébration de l’amour romantique. L’oratrice imagine à quel point elle serait excitée et ravie si son amant revenait. Elle laisse son esprit et son cœur contempler toutes les choses qu’elle ferait pour lui et à quel point elle le traiterait bien et raconte à quel point il est beau. Elle dit qu’elle raffolerait de lui et s’assurerait de bien le connaître avant qu’il ne reparte, comme elle sait qu’il le ferait.
Cisneros est connue non seulement pour ses poèmes mais aussi pour ses romans et nouvelles. Elle dépeint généralement des femmes fortes et indépendantes d’origine mexicaine américaine, qui refusent de se conformer aux attentes masculines traditionnelles sur la façon dont les femmes devraient se comporter et quelle devrait être leur place dans la société. « Une fois de plus, je prouve la théorie de la relativité » n’est pas exactement une pièce typique de Cisneros, car elle ne met pas l’accent sur l’aspect chicano ou féministe de son travail. Au lieu de cela, c’est une expression sincère de l’idéal de l’amour romantique. Il révèle les perceptions accrues et l’intensité des réponses sensuelles et émotionnelles qu’un tel amour suscite. Il exprime également la prise de conscience que dans des expériences d’amour aussi intenses, qu’elles durent ou non, se trouvent les germes de la créativité et de l’art.
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