[ad_1]
« La généalogie de la morale » de Friedrich Nietzsche est une discussion non romanesque quelque peu historique et philosophique sur l’origine de la moralité et des concepts connexes dans l’humanité. Le corps principal du livre est composé de trois essais distincts mais liés écrits par l’auteur traitant des concepts de bien et de mal, de culpabilité et de mauvaise conscience et de la signification des idéaux ascétiques. Nietzsche commente certains événements historiques de la civilisation de l’homme dans la société au cours des siècles pour étayer ses arguments en faveur de la condition actuelle de l’humanité à la fin du XIXe siècle.
Nietzsche écrit La Généalogie comme une critique d’un livre d’associés qu’il utilise comme modèle pour ce travail. Cette approche permet à Nietzsche d’écrire d’une manière plus cohérente et soutenue que nombre de ses autres œuvres. Les trois essais de Généalogie portent sur la morale chrétienne. Le premier essai oppose la morale du maître à celle de l’esclave, appelée morale noble et morale de troupeau. Il prétend que « bon » ou « mauvais » définit à l’origine un impact noble et non moral. Nietzsche déclare que la valeur morale est imputée par les esclaves qui en veulent aux nobles et appellent leurs actions des vices. La révolte des esclaves a des effets culturels qui remplacent la force et l’action des riches nobles par la passivité et la platitude des doux qui héritent de la terre. Le deuxième essai retrace la culpabilité et la punition qui, à l’origine, n’ont aucune signification morale. La culpabilité signifie devoir et la punition assure le remboursement. Le besoin de la société de contraindre le comportement développe une « mauvaise conscience » lorsque l’homme se tourne vers son âme. Le dernier essai de Nietzsche décrit l’ascèse comme une tentative d’apprivoiser les instincts animaux des hommes malades et velléitaires.
Cet ouvrage non romanesque de 123 pages est composé de cinq sections sans index ni glossaire. Trois essais constituent le corps principal de l’ouvrage, mais les sections Note biographique et Préface aident à comprendre l’auteur et son objectif par écrit. La préface et chacun des essais sont divisés en sous-sections. Les chapitres et les sous-sections de chapitre varient en taille. Il y a 78 sous-sections de chapitre. La quantité de détails suggérée par le nombre de sous-sections ne contribue pas de manière significative à la clarté de l’œuvre de Nietzsche. Il écrit en allemand qui est traduit en anglais en 1913. Les phrases sont longues avec des virgules, des deux-points et des points-virgules pour séparer les pensées et les idées. Les grammairiens anglais pourraient les considérer comme des phrases « continues ». La structure des sous-sections et des phrases rend les prétendues idées du travail difficiles à trouver et difficiles à comprendre. Nietzsche est apparemment conscient et indifférent de la difficulté des lecteurs comme par son commentaire: « Si cette écriture est obscure pour un individu et lui choque les oreilles, je ne pense pas que c’est nécessairement moi qui suis à blâmer. » La solution qu’il recommande au lecteur est « lire mes écrits précédents ».
[ad_2]
Source link -2