[ad_1]
La version suivante de ce livre a été utilisée pour faire le guide : Hiranandani, Veera. Le journal de nuit. Penguin Random House, 2018.
The Night Diary est un roman épistolaire qui raconte la partition de l’Inde en deux pays distincts, l’Inde et le Pakistan, à travers les yeux d’une jeune fille de douze ans mi-hindoue mi-musulmane nommée Nisha. Nisha et son frère jumeau vivent avec leur père hindou, Papa ; leur grand-mère, grand-mère; et leur cuisinier, Kazi. Leur mère musulmane est décédée à leur naissance, et Nisha écrit à sa mère dans le journal qui donne son titre à ce livre. La première entrée de Nisha dans son journal commence par une lettre sur son douzième anniversaire et, au fil des semaines, ses entrées commencent à écrire non seulement sur ses luttes personnelles contre la timidité, mais aussi sur ses craintes plus profondes de partition en Inde.
La section 1 comprend les lettres de Nisha du 14 juillet 1947 au 29 juillet 1947. Elle présente Nisha et sa famille et les relations entre eux. Amil est le jumeau de Nisha et a une relation turbulente avec papa, bien que Nisha sache que papa veut juste qu’Amil fasse plus d’efforts à l’école. Les deux enfants sont très proches de leur cuisinier, Kazi, et tous deux ont des difficultés à s’intégrer de différentes manières. Les enfants apprennent que les troubles politiques commencent à affecter l’Inde et leur ville, et ils sont victimes d’intimidation de la part d’étudiants qui les identifient comme « hindous » malgré le fait qu’ils sont à moitié musulmans.
La section 2 comprend les lettres de Nisha du 30 juillet 1947 au 7 août 1947. Nisha et Amil n’ont pas le droit d’aller à l’école en raison de la situation politique dans leur ville et s’ennuient à la maison. Ils sont témoins d’un cambriolage dans leur maison qui laisse tout le monde secoué et Kazi blessé. Nisha se rend compte que tout ce qu’elle pensait savoir sur sa ville est en train de changer à mesure que les gens commencent à s’identifier en fonction de leur identité ethnique. Bientôt, papa organise une fête chez eux et Nisha s’amuse à fond jusqu’à ce qu’elle se rende compte, vers la fin, que c’est une fête d’adieu et que sa vie ne sera plus jamais la même maintenant que papa a décidé de déménager leur famille.
La section 3 comprend les lettres de Nisha du 15 août 1947 au 20 août 1947. Nisha et sa famille quittent leur maison à Mirpur Khas à pied, espérant atteindre la maison d’un parent, puis se rendre à une gare pour monter à bord d’un train qui prendra à la « nouvelle » Inde, puisque la « vieille » Inde a été divisée en Inde et au Pakistan. Les hindous n’étant plus les bienvenus au Pakistan, la famille n’a d’autre choix que de fuir, affrontant la faim dans leur périple à pied et, pire que tout, la déshydratation. Nisha craint pour la vie de sa famille alors qu’elle fait face à des tensions à Mirpur Khas ainsi que sur la route.
La section 4 comprend les lettres de Nisha du 21 août 1947 au 31 août 1947. La famille est gravement déshydratée, Amil tombant malade et Nisha craignant qu’il ne meure. Ils voient des familles se battre pour le contrôle de la pompe à eau dans un village voisin, alors papa marche devant pour aller chercher de l’eau à une autre source pendant que Nisha, Amil et grand-mère restent derrière. Ils connaissent la pluie pour la première fois depuis le début de leur voyage et recueillent l’eau avec impatience, puis ils continuent de se déplacer pour trouver un abri contre la pluie froide. Finalement, ils atteignent la maison appartenant à l’oncle Rashid – l’oncle maternel de Nisha et Amil. Il les traite avec gentillesse, bien qu’il ne puisse pas parler à cause d’une fente labiale, et Nisha s’attache à lui.
La section 5 comprend les lettres de Nisha du 1er septembre 1947 au 10 novembre 1947. Les enfants se lient d’amitié avec une petite fille qui vit à côté de l’oncle Rashid, ce qui met la famille en danger car ils sont toujours en territoire musulman. Papa les oblige tous à déménager à nouveau et ils se dirigent vers la gare. Dans le train pour Jodhpur, leur wagon est attaqué, mais la famille survit. Nisha écrit sur leur nouvelle vie à Jodhpur, déclarant qu’elle est plus timide que jamais et se sent triste. Cependant, Kazi, leur ancien cuisinier, apparaît un jour sur le pas de leur porte, ayant retrouvé la famille grâce à une lettre que grand-mère lui a envoyée. La famille se sent à nouveau entière, ce qui incite Nisha à aborder sa nouvelle situation avec plus d’optimisme. Elle promet d’embrasser sa nouvelle vie, bien qu’elle ne comprenne toujours pas pourquoi un voisin se retourne contre un voisin pour des raisons d’animosité ethnique.
[ad_2]
Source link -2