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OTTAWA — L’administratrice en chef de la santé publique du Canada dit qu’elle se prépare aux variantes du « pire scénario » de la COVID-19, alors que les premiers signes montrent une résurgence du virus à l’automne.
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Au comité de la santé de la Chambre des communes, la Dre Theresa Tam affirme que l’Agence de la santé publique du Canada surveille attentivement l’évolution des variantes d’Omicron, qui sont les sous-variantes les plus courantes au pays.
Tam dit qu’au début de la pandémie, le virus muterait de toutes sortes de façons, car il n’y avait aucune immunité contre une infection ou des vaccins antérieurs.
Maintenant, dit-elle, les mutations ont été limitées alors que le virus subit des pressions pour trouver des moyens d’échapper à l’immunité.
Tam dit que le pire scénario est que les variantes trouvent un moyen de contourner l’efficacité des vaccins et des traitements avec des anticorps monoclonaux.
Elle dit qu’il semble y avoir récemment une légère augmentation du nombre de personnes optant pour des injections de rappel, maintenant qu’elles offrent une protection contre les souches plus récentes du virus.