Que vous détestiez le surnom de « jeu sain » ou non, vous devez l’admettre : Paradise Marsh a l’air magnifique. En regardant sa police douce et arrondie (qui rappelle le jeu indépendant bien-aimé A Short Hike) et son casting d’insectes et de créatures sympathiques avec des mirettes gigantesques, ne voulez-vous pas simplement plonger dans ce paysage de coléoptères aux couleurs chaudes ?
Paradise Marsh a beaucoup de cases saines cochées – grenouilles, cochez; bug attraper, vérifier; cueillette de fleurs, chèque; faibles enjeux, vérifier; musique ambiante, vérifiez (par le compositeur FEZ Disasterpeace!) – et oui, il a figuré sur deux Remorques directes saines. Mais il est clair que c’est plus qu’un simple jeu de peluches sans dents.
Il y a un vrai sens de la comédie là-dedans, évident à partir des captures d’écran (est-ce que ce geai bleu va bien?) Et même la configuration système requise sur la page Steam, qui recommande Windows 69, un Quantum Fusion Reactor 4000 comme processeur et un Moog System 55 Synthé modulaire au lieu d’une carte son.
Il peut aussi y avoir un côté sinistre à ce joli paysage, avec de mystérieux monolithes, des constellations manquantes et des notes perdues disséminées dans le marais, qui promettent de révéler les étranges mystères de ce lieu…
Paradise Marsh est maintenant confirmé pour une sortie eShop sur la Nintendo Switch le 13 octobre. Hop à elle!