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« Morning Walk » de Claire Malroux a été publié pour la première fois en français dans son recueil de poésie Aires. Traduit par la poétesse américaine Marilyn Hacker, la version anglaise de « Morning Walk » apparaît comme le premier poème du recueil Bord publié par Wake Forest University Press.
Comme beaucoup de poèmes dans Bord, « Morning Walk » aborde les thèmes du vieillissement et de l’inévitable progression du temps, en explorant les frontières poreuses entre différents domaines : la vie et la mort, le naturel et l’humain, l’actuel et le spirituel. Le poème évoque à la fois un paysage physique et psychologique, alors que l’orateur observe des éléments du monde tout en se promenant le matin dans ses environs. L’endroit qu’elle traverse n’est pas précisé – le poème pourrait se dérouler n’importe où où il y a des bâtiments et des arbres. Il semble être un quartier urbain, bien qu’il soit rempli de zones herbeuses, indiquant des parcs ou des pelouses. Le poème passe par plusieurs changements de ton, oscillant entre pessimisme réticent et admiration, mais se termine sur une note optimiste célébrant l’autorité spirituelle de la nature. Malroux utilise la métaphore, la comparaison et la personnification pour transmettre les idées et les images du poème. Ces dispositifs servent à souligner ses idées sur l’interdépendance des différents mondes.
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