vendredi, novembre 29, 2024

Sherlock Holmes : critique du chapitre un

Dois savoir

Qu’est-ce que c’est? Un détective mystère en monde ouvert avec un jeune Sherlock.

Attendez-vous à payer 40 £/50 $

Développeur Frogwares

Éditeur Frogwares

Sortie 16 novembre

Révisé le GTX 1080 Ti, Intel i7-8086K, 16 Go de RAM

Multijoueur ? Non

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Sherlock Holmes: Chapter One ressemble à l’expression ultime de l’ambition du développeur Frogwares pour sa vénérable série de détectives et, simultanément, son entrée la plus étrange. C’est presque tout ce que vous pourriez attendre d’un jeu sur le détective consultant, mais aussi pas mal de choses dont vous pourriez vous passer. Il oscille entre grandeur et absurdité, mais si vous avez envie de résoudre certains mystères victoriens, il n’y a pas de meilleur baume.

Ne vous laissez pas tromper par le titre, ce n’est pas le premier d’une série de jeux épisodiques, mais plutôt une histoire d’origine. Dans The Devil’s Daughter, Frogwares a transformé Sherlock Holmes en un sosie maussade de Jon Hamm, et le voici doublé, nous donnant une version fraîche de Sherlock qui vient clairement de sortir d’un drame CW Network – probablement l’un des vampires – avec une moue et un penchant pour les gants en cuir.

Au lieu d’être coincé dans la morosité de Londres, Sherlock a fait un voyage sur l’île méditerranéenne ensoleillée de Cordona, où il a vécu enfant, pour se rendre sur la tombe de sa mère. Il n’y a pas de brouillard, pas d’armée de gamins et pas de Watson ; tout cela, il s’avère, est en fait une bonne chose. Libéré de tant de conventions d’un mystère de Sherlock Holmes, Chapter One prend des virages audacieux, surprenants et, oui, parfois assez idiots, et le fait miraculeusement dans une aventure qui reste fidèle à la série de jeux et à la fiction plus large.

(Crédit image : Frogwares)

Le compagnon constant de Sherlock, Jon, est une sorte de proto-Watson, et illustre vraiment comment Chapter One adapte le personnage ancien d’Arthur Conan Doyle. Comme Watson, Jon est une caisse de résonance, un facteur de motivation et un confident pour Sherlock, tout en l’aidant dans ses affaires. Mais contrairement au bon docteur, il est un peu voyou, avec une séquence espiègle et effrontée et une relation plus fraternelle avec Sherlock. Il est aussi entièrement imaginaire.

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