lundi, novembre 25, 2024

Like Son d’Alexander Sebastian – Commenté par Tim Cigelske

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Une plongée profonde dans la psychologie d’un coureur qui veut répondre aux grandes questions, comprendre la vie et trouver un sens en avançant.

Les guerriers du week-end qui se poussent constamment vers les relations publiques dans les 10 km locaux, courent des marathons ou plongent leurs orteils dans l’ultra running se reconnaîtront en Alexander Sebastian. Ce n’est pas un athlète d’élite, mais il a suffisamment de talent, d’ambition et de volonté pour se dépasser dans la douleur pour avoir envie de relever le défi constant et l’accomplissement qui accompagnent les sports d’endurance. De cette façon, ses essais rappelleront aux lecteurs le roman culte classique Une fois un coureur.

Mais au-delà de l’aspect athlétique, au cœur de ce mémoire se trouve vraiment une plongée profonde dans la psychologie de la course à pied. Qu’est-ce qu’il fuit ou vers quoi court-il ? C’est ce qu’il cherche à trouver, un essai et un essai à la fois – même ou surtout s’il s’agit d’un processus douloureux. « Parfois, ma course à pied fournit trop d’introspection, de longs kilomètres avec les mêmes conversations profondes avec moi-même », admet Sebastian.

Parfois, ce voyage l’amène à sortir des sentiers battus et à se perdre, et parfois il l’emmène en territoire familier dans son arrière-cour de San Francisco qui lui apprend quelque chose. Finalement, cela révèle la seule chose qui manque dans sa vie, comme le titre l’indique. Au final, c’est la course à pied qui lui donne la force de croire en lui et de croire aux autres.

Ne vous y trompez pas, c’est un livre qui plaira aux coureurs invétérés. Alors que les thèmes de la recherche sont universels, l’outil que Sebastian utilise pour compléter son parcours consiste principalement à être et à s’identifier en tant que coureur. De cette façon, il rappellera aux lecteurs les mémoires en cours De quoi je parle quand je parle de course à pied.

Le livre, comme la course elle-même, peut ressembler à une thérapie. Parfois, il y a une percée, et d’autres fois, vous avez l’impression d’être bloqué ou de ne pas savoir vers qui vous tourner ensuite. Le livre ne parvient pas à des conclusions précises, mais montre plutôt que le voyage continue, les bons comme les mauvais jours.

Tim Cigelske s’appuie sur son expérience en tant que journaliste écrivant sur des personnes créatives de tous horizons, y compris un agriculteur, un auteur pour enfants, un dessinateur de bandes dessinées et un animateur Pixar. Ses écrits apparaissent dans Runner’s World, Adventure Cyclist et Onion AV Club. Ashton Kutcher l’a qualifié de « punk intelligent ».

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