Assassin’s Apprentice / Royal Assassin par Robin Hobb


PUBLIÉ À L’ORIGINE À Littérature fantastique.

J’ai lu The Farseer Saga il y a des années et je l’ai depuis considéré comme l’une de mes épopées fantastiques préférées. C’en est un (avec Le Seigneur des Anneaux et Mémoire, Chagrin et Épine) que je suggère souvent aux nouveaux lecteurs de fantasy. Mais après plus d’une décennie de lecture de plus en plus approfondie de la littérature fantastique, je me suis souvent demandé à quel point cette saga plairait maintenant à mon palais plus mature (j’espère). Lorsque Tantor Audio a récemment sorti The Farseer Saga en audio, j’étais o

PUBLIÉ À L’ORIGINE À Littérature fantastique.

J’ai lu The Farseer Saga il y a des années et je l’ai depuis considéré comme l’une de mes épopées fantastiques préférées. C’en est un (avec Le Seigneur des Anneaux et Mémoire, Chagrin et Épine) que je suggère souvent aux nouveaux lecteurs de fantasy. Mais après plus d’une décennie de lecture de plus en plus approfondie de la littérature fantastique, je me suis souvent demandé à quel point cette saga plairait maintenant à mon palais plus mature (j’espère). Lorsque Tantor Audio a récemment sorti The Farseer Saga en audio, j’étais ravi et j’ai considéré que c’était mon signe qu’il était temps de revisiter les six duchés.

Lorsque Assassin’s Apprentice est arrivé par la poste, j’ai retiré le CD qui était actuellement dans mon ordinateur, je l’ai jeté de côté (désolé, Ray Bradbury) et je l’ai collé dans le premier disque d’Assassin’s Apprentice. Mes lèvres tremblaient tandis que je prononçais le nom du narrateur : Paul Boehmer… Jamais entendu parler de lui. Est-il assez bon pour incarner Fitz, l’un de mes personnages fantastiques préférés de tous les temps ? Et… mon estomac s’est tordu… Fitz sera-t-il le même garçon dont je me souciais tant il y a tant d’années ?

En quelques minutes, j’ai été réabsorbé dans le monde de FitzChivalry Farseer, ce garçon solitaire et peu sûr de lui qui a tellement de potentiel mais, en raison de sa naissance illégitime et de ses capacités particulières avec les animaux, n’obtient jamais ce qu’il mérite. Fitz était exactement comme dans mes souvenirs et Paul Boehmer l’a magnifiquement dépeint (ainsi que tous les autres personnages). (Sauf qu’à un moment donné, il a utilisé à tort le mot « prisonnier » au lieu de « empoisonneur ».)

La prose de Robin Hobb était aussi belle que dans mon souvenir – directe et simple. Il n’attire jamais l’attention sur lui-même (et donc loin de l’histoire). Ses personnages sont attachants et bien représentés, bien que quelques-uns de ses méchants soient exagérés. Ses personnages animaliers sont particulièrement remarquables et, bien que je ne sois pas un amoureux des chiens, je ne peux m’empêcher d’être émotionnellement connecté aux compagnons canins de Fitz. Ma deuxième lecture m’a également permis de mieux apprécier la construction du monde de Hobb alors que je rencontrais des bribes d’informations pertinentes pour ses œuvres ultérieures (Tawny Man, Liveship Traders, Rain Wilds).

Ma seule déception est que je n’ai pas encore le prochain livre, Royal Assassin, entre les mains. Je ne sais pas pourquoi j’ai tellement envie de me torturer à nouveau avec cette histoire parce que je sais ce qui va se passer. Les choses ne se passent pas toujours bien pour Fitz. Son histoire est déchirante et je sais que je serai épuisé émotionnellement après l’avoir terminée. Mais je vais en aimer chaque minute.



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