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Garçon
Le garçon est le fils de l’ex-femme du narrateur, issue de son deuxième mariage. Lui et sa sœur apparaissent à la fin du roman, et il est décrit par le narrateur comme « têtu… [w]avec des yeux durs comme des cailloux bleus grisâtres.
Le Diri
Le Diri est le directeur du pensionnat que le narrateur fréquente de cinq à dix ans. C’est un homme de petite taille avec un gros ventre, une moustache blanc jaunâtre et de longs cheveux blancs. Ses élèves l’appellent le Plug derrière son dos. Le Diri contrôle l’école avec une autorité stricte et la peur. Il est rarement vu par les étudiants, sauf lors d’explosions occasionnelles de mauvaise conduite et le samedi après-midi. rapports. Le Diri est finalement tué dans les chambres à gaz des camps de concentration nazis pendant l’Holocauste.
Ex-femme
Le narrateur rencontre la femme qui devient son épouse lors d’une fête où elle est impressionnée par ses opinions et par son écriture. Elle a dix ans de moins que lui et il la décrit comme « une belle juive » aux cheveux brillants et épais. Née après Auschwitz, elle n’a vécu que l’Holocauste comme histoire. Elle est très troublée par sa judéité qui, selon elle, lui a été imposée car elle n’est pas religieuse et ne participe pas à la culture juive. Cette question la préoccupe particulièrement car l’antisémitisme sévit encore en Europe après la fin de la Seconde Guerre mondiale.
Elle et le narrateur sont d’abord amants. Même au début de leur mariage, ils sont heureux ensemble, et elle espère inspirer et influencer l’écriture du narrateur ainsi que sa propre guérison de l’Holocauste. Le narrateur se rend compte tardivement que lui et son écriture prospèrent dans la douleur. Il ne veut pas guérir et ce fait sépare le couple. Elle souhaite vivre et pour elle cela signifie mariage et enfants. Elle rencontre un Gentil, tombe amoureuse et quitte le narrateur pour cet autre homme.
L’ex-femme du narrateur est dermatologue. Elle a choisi de se lancer dans la médecine après que sa mère est décédée jeune d’une maladie mystérieuse et incurable qu’elle a contractée à Auschwitz. Après le divorce du narrateur et de sa femme, ils continuent de se rencontrer dans des cafés où elle lui écrit des ordonnances pour des médicaments qui le maintiennent détendu et heureux. Cette relation en cours donne l’impression qu’il ne s’agissait pas d’un divorce amer. A la fin du roman, elle emmène ses enfants de son second mariage, une fille et un garçon, rencontrer son ex-mari dans un café.
Père
Les parents du narrateur sont divorcés au moment où il a cinq ans et sa mère disparaît définitivement de sa vie à ce moment-là. Il fréquente un internat de l’âge de cinq ans jusqu’à l’âge de dix ans. Après ses dix ans, son père reprend son éducation. Pendant ce temps, le narrateur découvre à quel point lui et son père sont différents et à quel point leur relation est compliquée. Il ne croit pas ou n’accepte pas l’autorité de son père et le plaint de ne pas pouvoir vraiment exercer l’autorité qu’il suppose avoir. Le narrateur croit qu’il aime son père mais sent aussi que son amour n’est pas suffisant.
Fille
La jeune fille est la fille de l’ex-femme du narrateur, issue de son deuxième mariage. Elle et son frère apparaissent à la fin du roman et elle est décrite par le narrateur comme « aux yeux noirs … avec des points pâles de taches de rousseur dispersées autour de son … nez ».
Narrateur
Le narrateur de Kaddish pour un enfant non né est un Juif hongrois d’âge moyen qui a survécu à l’Holocauste. La survie lui a coûté une vie normale. Il est nihiliste (croit que la vie est insensée et inutile) et garde pour lui et son écriture. Son écriture est sa façon de ne pas exister dans le monde réel, de creuser la tombe commencée pour lui à Auschwitz. Il chérit cette écriture comme creusement de tombes comme l’œuvre de sa vie, aussi sinistre soit-elle.
Au fil du roman, il se remémore son enfance malheureuse : le divorce de ses parents, et ses cinq années dans un pensionnat. Son père assume l’autorité sur l’enfant traditionnellement confiée aux adultes et aux parents, mais le narrateur voit à travers cette façade de pouvoir, anticipe les conférences de son père et a généralement pitié de l’homme. Sa mère n’est jamais mentionnée.
A quatorze ans, le narrateur est envoyé à Auschwitz puis dans les camps de concentration de Buchenwald. Un an plus tard, lorsque Buchenwald est libéré par les Alliés, il retourne à Józsefváros, un quartier proche du cœur de Budapest où il a grandi. Il travaille comme traducteur littéraire et écrivain mais n’est pas un initié des cercles privilégiés de la scène littéraire hongroise. Il loue un appartement préfabriqué et possède très peu de biens, principalement des livres. Il est marié depuis peu mais sa femme le quitte après qu’il lui ait révélé qu’il n’engendrera pas d’enfant pour elle. Son enfance et l’Holocauste le prédisposent à avoir des enfants. Le narrateur dit qu’il ne peut pas être le dieu d’un autre être humain.
Dr Oblath
Le Dr Oblath, professeur de philosophie, séjourne dans la même station balnéaire que le narrateur, près des montagnes centrales. Au début du roman, ils se rencontrent par hasard dans les bois. Le narrateur le décrit comme « un homme débordant de vitalité inappropriée » avec « un visage ressemblant à une pâte molle, pétrie et déjà levée ».
Le Dr Oblath regrette que sa femme et lui n’aient pas d’enfants. Le Dr Oblath demande alors au narrateur s’il a un enfant. Cette question apparemment simple est le catalyseur du monologue du flux de conscience (une histoire décousue qui émerge de la séquence naturelle des pensées du narrateur) qui compose Kaddish pour un enfant non né.
Professeur
Pendant l’hiver où il est emprisonné, le narrateur rencontre le professeur, un homme maigre, affamé d’une alimentation insuffisante et souffrant de travaux forcés, sur une voiture de transport pour les malades. Le professeur s’assure que le narrateur, malade et allongé, reçoive sa part plutôt que de la garder pour lui. Cette petite action sauve la vie du narrateur et met probablement davantage en péril la survie du professeur. Le narrateur considère son action comme irrationnelle puisque la nature humaine pousse à la survie, et le comportement du professeur est contraire à sa propre survie. Ce qui est encore plus significatif, c’est le dégoût du professeur face à l’étonnement du narrateur. Quand il voit l’expression sur le visage du narrateur, il dit « Eh bien, à quoi vous attendiez-vous … ? » Pour le professeur, la civilité et la compassion sont plus essentielles à la survie que le besoin de nourriture de son corps.
Épouse
Voir Ex-femme
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