Se déplacer contre la résistance de l’eau augmente l’intensité de votre entraînement, alors couvrez autant de terrain que possible. Si vous manquez d’espace, changez fréquemment de direction, notamment en revenant dans le courant que vous venez de créer sans perdre de vitesse. Si possible, restez à une profondeur entre les hanches et la poitrine afin de pouvoir maintenir le contact avec le fond et d’ajuster facilement la vitesse, la direction et l’amplitude des mouvements. Trop profond et vous commencerez à flotter. Trop peu profond et vous ne profiterez pas pleinement de la résistance naturelle de l’eau.
Aller en grand
Des mouvements de course, de marche et de saut importants, forts et contrôlés engageront plus de muscles et créeront plus de résistance, ce qui amènera votre fréquence cardiaque là où vous le souhaitez. Mettez également vos bras dans l’action, en les gardant sous l’eau autant que possible, en les balançant à vos côtés, autour du corps ou en les poussant vers l’avant et l’arrière en exposant autant de surface de votre corps que possible (pensez à pousser contre l’eau contre trancher bien qu’il).
Mélanger
L’alternance entre les mouvements grands et petits, rapides et lents, stationnaires et mobiles évite que l’entraînement ne devienne ennuyeux. De grands mouvements rapides feront battre votre cœur tandis que des mouvements plus lents sont de meilleurs choix lorsque vous avez besoin de le réduire. Alternez 20 secondes de grands sauts côte à côte avec vos genoux qui brisent presque la surface de l’eau, puis 60 secondes de récupération lors d’un jogging lent à hauteur des genoux. Ou sprintez sur toute la largeur de la piscine avec les bras pompant à vos côtés autant de fois que possible pendant 20 secondes, suivi d’une minute de marche facile. Répétez autant de fois que possible pendant 20 minutes. Entraînement fait.