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Ismaël : une aventure de l’esprit et de l’esprit montre un énorme gorille instruit et télépathique, Ishmael, encadrant un écrivain d’âge moyen idéaliste mais quelque peu dense. Ishmael l’aide à comprendre comment la majorité de l’humanité met en scène une histoire qui détruira le monde, tandis qu’une infime minorité vit en communion avec la communauté de la vie et peut pointer vers un avenir meilleur.
Ishmael, un énorme gorille éduqué et télépathe, accepte d’encadrer le narrateur anonyme pour sauver le monde. Il commence par l’histoire familière et clairement perverse des nazis, balayant tous les Allemands, quelle que soit leur situation politique ou économique, dans leur programme de propagande et d’éducation. Il déclare ensuite avec audace, « Mother Culture », la voix de la culture « Taker », utilise les mêmes techniques pour inculquer ses propres thèmes à chaque membre des peuples « civilisés » dès la naissance. Ishmael soutient cependant qu’il existe une autre histoire de l’humanité, mais « Leaver » ne peut être apprécié qu’une fois que le narrateur comprend comment les Takers ont amené le monde là où il se trouve. Mère Culture raconte l’analyse scientifique de l’homme de la création et de l’évolution en termes mythiques. Les preneurs croient qu’ils doivent gouverner la nature et pour la gouverner doivent d’abord la conquérir, car la nature ne se rendra pas passivement. Leur moralité est artificiellement tronquée par la croyance qu’on ne sait pas vivre et une confiance trop facile dans les prophètes pour les instruire.
Lorsque le narrateur ne parvient pas à voir que les humains n’ont pas besoin de prophètes pour leur dire comment vivre – ne parvient pas à voir une loi immuable dans la nature qui montre comment ils devraient vivre, Ismaël utilise les lois incontestées de la gravité et du vol pour montrer comment la culture Taker est en chute libre et rares sont ceux qui s’inquiètent vraiment de l’impact inévitable. Ishmael suit avec une image choquante de cannibales heureux qui dînent légalement les uns sur les autres pour aider le narrateur à comprendre pourquoi les opinions des Takers sur la chaîne alimentaire sont fondamentalement fausses et destructrices. Ce thème sera longuement développé à mesure que l’alternative – l’agriculture – sera critiquée. Ishmael cite la thèse de Peter Farb selon laquelle l’approvisionnement alimentaire et la taille de la population augmentent et diminuent en relation directe les uns avec les autres et que cet équilibre se produit dans une perspective mondiale. Le problème peut être corrigé en abandonnant la ligne du parti Taker, mais s’ils refusent, l’extinction humaine est inévitable.
En revanche, l’histoire des Leavers est beaucoup plus ancienne et toujours réussie, chaque fois que les Takers ne l’effacent pas. Genèse 1-4 préserve une histoire ancienne que les Hébreux – un peuple Taker – adoptent sans comprendre pleinement et incorporer dans leur mythologie, changeant seulement « les dieux » en « Dieu ». Le récit hébreu montre des signes d’un peuple non agricole s’efforçant de comprendre pourquoi des voisins agressifs réussissent à les envahir, à les tuer et à les déplacer pour ouvrir de nouvelles terres agricoles. Seule l’hypothèse d’une polémique sortante prend tout son sens : en cherchant la Vie, ils font ce qu’ils veulent, sans se soucier des conséquences pour les autres.
Ismaël est expulsé et disparaît, mais le narrateur le retrouve, souffrant, dans un freak show. Ce n’est qu’à contrecœur qu’Ishmael reprend la formation, reprenant comment, alors que les Takers perdent le contact avec la culture et la sagesse anciennes, ils ont besoin qu’on leur dise comment vivre, tandis que les Leavers contemporains n’ont aucun doute, étant fermement ancrés dans des traditions localisées bien testées. Les sortants, selon Ishmael, sont « la société aisée d’origine », plutôt que, comme le soulignent les sortants, toujours au bord de la famine. Le narrateur en vient à comprendre comment l’humanité pourrait rester dans les mémoires dans un milliard d’années comme l’espèce qui développe d’abord la conscience de soi et l’intelligence – et a la grâce de permettre à d’autres espèces de faire de même. Ismaël cherche une manière optimiste pour son élève de présenter son message aux autres, mais le narrateur a appris à être défaitiste. Sur le point d’être libéré par son mentor malade, le narrateur voit la tâche aussi ardue que celle à laquelle est confronté saint Paul, mais se rend compte que tout doit commencer petit, et ne rien faire ne fait que contribuer à la destruction précipitée. Avant que le narrateur ne puisse sauver Ismaël du carnaval, le grand singe meurt d’une pneumonie et est incinéré sans cérémonie par le comté, ainsi que roadkill.
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