mercredi, novembre 27, 2024

J’ai ressenti un enterrement, dans mon résumé du cerveau et la description du guide d’étude

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« J’ai senti un enterrement, dans mon cerveau » a été publié pour la première fois en 1896. Parce qu’Emily Dickinson a vécu une vie de grande intimité et n’a publié qu’une poignée de poèmes au cours de sa vie, l’année exacte de sa composition est inconnue; la plupart des érudits s’accordent à dire qu’il a été écrit vers 1861.

Comme beaucoup d’autres poèmes de Dickinson, « J’ai ressenti un enterrement, dans mon cerveau » explore le fonctionnement de l’esprit humain sous stress et tente de reproduire les étapes d’une dépression mentale à travers la métaphore globale d’un enterrement. Les rituels communs d’un enterrement sont utilisés par Dickinson pour marquer les étapes de l’effondrement mental de l’orateur jusqu’à ce qu’il fasse face à une destruction qu’aucun mot ne peut articuler. Au fur et à mesure que les funérailles métaphoriques commencent et progressent, «l’esprit» de l’orateur devient «engourdi» jusqu’à ce que sa dernière remarque s’arrête au milieu de la phrase. Le poème est un incontournable du canon de Dickinson et reflète sa capacité à reproduire la conscience humaine sous une forme poétique contrôlée. Comme ses poèmes « Après une grande douleur, un sentiment formel vient— », «  »L’espoir » est la chose avec des plumes— » et « J’ai ressenti un clivage dans mon esprit— », « J’ai ressenti un enterrement, dans mon cerveau » utilise du béton langage et imagerie pour explorer des questions abstraites.

L’événement que les funérailles sont utilisées pour décrire, cependant, ne doit pas être interprété comme une dépression nerveuse. Le poème permet d’autres lectures de ce qui constitue les « funérailles », comme le fait qu’un individu soit agressé par une idée qui menace de détruire toutes ses hypothèses chères ou l’incapacité d’un esprit à faire face aux pressions qui lui sont exercées de l’extérieur. monde. Les ambiguïtés du poème permettent de multiples lectures, qui cependant convergent toutes vers l’idée que le cerveau de l’orateur est cérémonieusement « mis au repos » par la conclusion du poème.

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