mercredi, novembre 20, 2024

Ma vie en morceaux

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L’ENFER DU GARÇON

LE DEUIL

LES VOIX

PERDU

EN CHEMIN

Permettez-moi de commencer par vous raconter l’histoire d’un petit enfant qui vivait autrefois dans une vallée. Comme tout autre enfant, il était innocent, joyeux et joueur. Mais cette vallée autrefois, paisible et paradisiaque, était devenue ravagée par la guerre. Certains événements malheureux avaient créé une situation dans laquelle cet enfant était laissé seul dans une maison. Pas pour longtemps, mais assez longtemps.

Dans les salles obscures, recoin étouffant,

son cœur battait sous un stress épuisant.

Fléchis, acculé, en sueur et en sueur,

il s’assit et écouta sa propre respiration lourde.

Les événements récents, qui avaient ôté son innocence,

avait aussi volé son encens ludique et joyeux.

Pendant longtemps, aucun sourire ni rire n’était en vue.

Pour son enfance effrayante, loin s’était envolée.

Il a vécu une fois dans une belle vallée,

maintenant en proie à la guerre et aux ruelles sanglantes.

Rempli d’esprits assombris par la colère et la haine,

ils ont attendu pour les imposer avec une vague destructrice.

Un lieu où la compassion avait perdu son terrain,

la miséricorde perdue était introuvable.

Où l’amour et l’humanité étaient décriés,

l’exubérance de chaque enfant était morte.

Sous un silence désert au moment où commençait son réveil,

les coups de feu ont révoqué la peur, qui dans son esprit courait,

comme des bruits de bombes explosées le faisaient trembler,

l’optimisme en lui est devenu faible.

Il embrassa étroitement, une photo de sa mère perdue

en pleurant des yeux frappés par la sécheresse sans larme.

Il était prêt même à être tué

pour les soins de sa mère une fois de plus.

Vouloir vocaliser, « Je t’aime, maman chérie »,

il resta silencieux, abasourdi par la terreur.

Il a également essayé de prier et de sonner une cloche de dévotion,

mais Dieu ne se trouvait pas non plus dans cet enfer impuissant.

L’ENFER DU GARÇON

La mère de cet enfant, qui l’avait perdu d’une manière ou d’une autre, est retournée à l’endroit où il avait été abandonné. Elle y est venue avec quelques-uns de ses proches. Malgré la recherche de chaque pièce de ce grand bâtiment grandiose, ils ne pouvaient pas le trouver. Ils ont continué leur recherche, et dans un placard, ils ont entendu un grincement. Et quand ils l’ont ouvert, ils ont trouvé l’enfant. Mais c’était trop tard.

Outre un cadavre,

ils pleuraient avec une force tonitruante.

Pour blesser les cœurs déjà doux et humides,

avec l’orage larmoyant que les yeux soulevaient.

Mère, abasourdie par la disparition prématurée de son fils.

Crucifié par les pensées de la solitude incisée,

elle pleurait délirante, perdue dans un dédale de chagrin.

A moitié vivant, pendu à de doux souvenirs.

Des jours où il s’allongeait confortablement, dans son ventre,

le jour où pour la première fois il a dit : Maman ;

tous les cris, les méfaits et les coups qu’il a reçus,

et tous les sourires et rires mignons la hantaient beaucoup.

Toute la consolation et les soins qu’elle a donnés,

et le désolé, le merci qu’il lui a demandé de recevoir.

Les souvenirs des caresses sur ses joues

élargi ses blessures, qui persisteraient pendant des semaines.

Laissant des souvenirs qu’il avait laissés.

Seul le corps sans vie était à sa gauche.

Trempé de larmes qui tombaient en cascade,

elle s’est amarrée à son chagrin et à son deuil implacable.

LE DEUIL

Après cet incident, la mère (étant veuve et prise en charge par ses riches parents) ne parlait pas, ne mangeait pas, ne dormait pas ou ne faisait pas correctement ses activités de routine. Elle s’isolerait complètement et ne parlerait même pas à ses parents. Elle s’asseyait et regardait la photo d’elle avec son fils, accrochée au mur de la chambre. C’était leur photo préférée. Ils l’ont emmenée chez de nombreux psychiatres. Là, ils lui demanderaient de parler, mais elle ne dirait pas un mot. Elle faisait quelques bruits étouffés que personne ne pouvait comprendre. Peut-être qu’elle voulait dire quelque chose mais ne pouvait pas aller plus loin.

Les voix se sont renforcées

de leurs échos dans la vallée de l’esprit.

Une vallée, sombre et sans fond.

Malgré les voix, leurs origines inexistantes.

Au début, beaucoup de faibles murmures qu’ils étaient,

pour devenir progressivement clair et moins.

Et maintenant! Ils sont forts et autoritaires,

hurlant comme des bêtes intimidantes en liberté.

La vallée dans laquelle j’avais évolué s’était aliénée,

pour enfin me détrôner et me bannir.

Possédé, inouï, j’ai lutté pour être en vie.

Dans ce royaume chaotique des voix, je survis à peine.

À propos de leurs actes miraculeux, ils ornent,

et comment ils sont descendus du ciel en tant que Dieu incarné.

Ils crient, commandent et menacent,

et dites, agenouillez-vous !! Ou la prise sur votre cou, nous allons resserrer.

De nombreuses théories du complot qu’ils ont proposées,

à la recherche des assassins, qui étaient en cavale.

Désireux de la personne qu’ils aimaient, ils pleuraient,

en disant que c’était notre seul enfant, ils criaient.

LES VOIX

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