vendredi, novembre 15, 2024

Dragonwyck par Anya Seton

[ad_1]

Dragonwyck est un livre difficile à AIMER. Et pourtant c’est très bien. Je suis dans un dilemme…

Compétences rédactionnelles 5 étoiles
plaisir 3 étoiles
Arrondi à 4 étoiles

En un mot, une fille de la campagne a de grandes aspirations et saute sur l’occasion de quitter la ferme pour une visite prolongée dans le vaste domaine de son cousin Nicholas. (Je pensais que Miranda ressemblait beaucoup à Hettie de Adam Bède ) Bien sûr, elle ne connaît pas du tout son cousin Nicolas ; elle ne comprend pas non plus pourquoi sa femme corpulente, Johanna préfère s’enterrer dans des gâteaux

Dragonwyck est un livre difficile à AIMER. Et pourtant c’est très bien. Je suis dans un dilemme…

Compétences rédactionnelles 5 étoiles
plaisir 3 étoiles
Arrondi à 4 étoiles

En un mot, une fille de la campagne a de grandes aspirations et saute sur l’occasion de quitter la ferme pour une visite prolongée dans le vaste domaine de son cousin Nicholas. (Je pensais que Miranda ressemblait beaucoup à Hettie de Adam Bède ) Bien sûr, elle ne connaît pas du tout son cousin Nicolas ; elle ne comprend pas non plus pourquoi sa femme corpulente, Johanna, préférerait s’enterrer dans des gâteaux et des pâtisseries plutôt que de le croiser. Tout ce qu’elle voit, ce sont ses attributs divins, son magnétisme et son charme. Ainsi, lorsque la femme de Nicholas, Johanna, meurt subitement d’une « gastrite aiguë », Miranda se glisse directement dans ses bras. Et se réveille dans un cauchemar…

Il est important de comprendre dès le départ que Nicholas n’est pas le héros. C’est un sociopathe/égocentrique. (Pensez à Wolf Larsen, au capitaine Achab ou même à Ted Bundy). Il n’est donc pas évanoui ; Cependant, il EST l’un des personnages principaux, vous le voyez donc beaucoup. Et j’étais prêt à me débarrasser de lui bien plus tôt que ce n’était le cas ! Mais vous savez, c’était en soi une écriture habile parce que le lecteur pouvait véritablement entrer dans le monde de l’héroïne et ressentir ce qu’elle ressentait.

Pour ceux d’entre nous qui ont du mal à comprendre pourquoi quelqu’un reste dans une relation abusive au lieu de  » simplement partir « , ce livre nous ouvre les yeux sur ce qu’est réellement la manipulation. Comment les antécédents jouent un rôle (à la fois chez la victime et chez l’agresseur), comment une personne violente « reconnaît » sa prochaine victime et comment la toile est tissée de manière si experte que la victime sait à peine qu’elle est prise jusqu’à ce qu’elle soit abasourdie, impuissante à se battre. ..

Et je suppose que c’est de savoir qu’il y a vraiment des gens comme ça qui le sort du domaine de ce que j’appellerais une « fiction d’évasion » agréable.

TENEUR :

SEXE : Aucun montré explicitement au lecteur mais le viol conjugal est évidemment un problème à plusieurs reprises.

VIOLENCE : violence domestique qui se manifeste principalement sous la forme d’intimidation mentale et de domination physique.

BLESSURE : Très légère

ÉLÉMENTS PARANORMAUX : le rire et le jeu du piano sont entendus par deux personnages à des occasions différentes alors que personne d’autre ne l’a entendu. Que ce soit une maladie mentale ou des fantômes n’est pas clarifié.

MA NOTATION : PG fort ou PG-13 doux

[ad_2]

Source link

- Advertisement -

Latest