lundi, novembre 25, 2024

Selon le co-créateur Ed Burns, le fil n’a pas pu être fait dans l’ère post-Game of Thrones

S’adressant au New York Times vingt ans après la première de « The Wire » le 2 juin 2002, Burns pense que l’émission désormais emblématique n’aurait pas le grésillement épique nécessaire pour attirer l’attention des dirigeants actuels de HBO. « Maintenant, ça doit être ‘Game of Thrones' », dit-il :

« Ça doit être gros. Ça doit être déconnecté de marcher sur les pieds de qui que ce soit. J’ai regardé quelques séries limitées sur HBO, et ce sont de bonnes émissions, mais elles ne ouvrent pas de nouvelles voies. Ce sont des polars ou ces femmes riches qui se chamaillent entre elles dans une ville. Je ne vois personne dire : « Hé, c’est vraiment une super émission. » »

Burns, qui a eu soixante-seize ans en janvier dernier, a peut-être raté les raves éhontées de « The White Lotus » de Mike White, qui satire sans subtilité de la richesse caucasienne. Les critiques et les abonnés de HBO ont adoré l’émission. Ouvrait-il un nouveau chemin ? Dans le sillage immédiat du feuilleton pour gens riches de David E. Kelley « Big Little Lies », pas particulièrement. Mais cela a cherché à énerver les téléspectateurs. Cela a amené les gens à parler de privilège. C’était une satire efficace.

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