Quand les enfants arrivent par Barry Kirwan


Quand les enfants viennent m’a tiré dès la première page. Pas d’introduction ni de récit descriptif. Kirwan m’a laissé tomber directement dans l’action.

Nathan, un vétérinaire militaire qui n’a jamais voulu d’enfants, en garde ironiquement plus de deux cents. Il est leur protecteur et peut-être la dernière chance de survie… tant qu’il reste éveillé.

L’histoire se retire pour expliquer comment Nathan et les enfants se sont cachés dans l’école abandonnée et de qui ils se cachent.

J’ai apprécié ce tourneur de page, en le lisant

Quand les enfants viennent m’a tiré dès la première page. Pas d’introduction ni de récit descriptif. Kirwan m’a laissé tomber directement dans l’action.

Nathan, un vétérinaire militaire qui n’a jamais voulu d’enfants, en garde ironiquement plus de deux cents. Il est leur protecteur et peut-être la dernière chance de survie… tant qu’il reste éveillé.

L’histoire se retire pour expliquer comment Nathan et les enfants se sont cachés dans l’école abandonnée et de qui ils se cachent.

J’ai apprécié ce tourneur de pages, je l’ai lu rapidement et j’ai fini par être frustré de devoir attendre l’automne pour le tome 2 ! HA!

Nathan est un grand protagoniste/héros. Bien qu’il semble être négatif au début, sa trame de fond explique la culpabilité qu’il ressent pour les vies perdues au cours de ses trois missions en Afghanistan et son SSPT. Mais avec les mots de son défunt commandant qui se répètent dans sa tête, Nathan insiste pour être le protecteur et le leader qu’il ne veut pas être mais sait qu’il doit être.

Lara et Raphaela, deux femmes liées à la NASA de différentes manières, sont d’incroyables sources de conseils et de soutien pour Nathan. Félicitations à Kirwan pour avoir continué à écrire des personnages féminins forts et confiants. Nathan se demande plus d’une fois comment il en est venu à être entouré de femmes plus intelligentes que lui. Cependant, il faudra de l’intelligence et l’entraînement des forces spéciales que Nathan a tenté d’enterrer pour combattre un ennemi dont ils ne savent rien.

Mon personnage préféré est Sally, dix ans. Après le meurtre de son frère, Sally court pour sa vie, directement à Nathan qui vit dans le même immeuble. Bien qu’il ne connaisse pas l’enfant, sa peur et son instinct lui disent que quelque chose ne va pas. Les rues sont trop vides pour le jour de l’an. Les adultes qui commencent à se rassembler sont en colère. Et il n’y a pas d’enfants. Avec Lara, le rendez-vous à l’aveugle de Nathan pour le réveillon du Nouvel An, il emmène l’enfant et fuit la ville à la recherche d’aide et de réponses. Chaque étape du voyage n’apporte aucune réponse et plus de désespoir, mais Nathan ne peut s’empêcher de remarquer que leur situation devient plus grave, Sally mûrit, ajoutant des choses négligées ou non dites à la conversation des adultes.

Lorsque le trio rencontre d’autres personnes à la recherche de réponses tout en essayant de survivre, l’enfant de dix ans devient le leader tacite des enfants, et c’est ainsi que Nathan la traite alors que lui et d’autres enseignent aux enfants les techniques de survie de base pour se protéger et tuer. Ils savent que si les adultes s’endorment, ils tuent ou sont tués au réveil.

Je n’oubliais pas que pendant que les adultes se disputaient la race, la politique et l’autorité, il n’y avait aucune dissension entre les enfants. Ils ne se sont pas séparés par race ou par sexe. Il n’y avait pas de parias, pas d’étiquetage. Sans les fardeaux sociaux que les adultes choisissent de porter, les enfants partagent un objectif… survivre. Cependant, à mesure que les chances de survie diminuent et que l’ennemi se révèle, l’attention des enfants se tourne vers la vengeance. La guerre arrive, mais il faut du temps pour planifier et s’entraîner car ce sera le vainqueur qui prendra tout. Ils n’auront qu’une seule chance de vaincre un ennemi de plus en plus nombreux, plus avancé… et non humain. Il est ironique que la meilleure chance de survie et de victoire du groupe ne soit pas non plus humaine.

J’ai déjà lu et apprécié les histoires de premier contact, mais l’intrigue unique et les personnages réalistes de Quand les enfants viennent en faire un livre mémorable qui va sur l’étagère de relecture.

Prendre plaisir!



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