Xbox a vu sa juste part de méchants emblématiques qui se sont toujours révélés être une épine dans le pied des joueurs. Après tout, l’héritage de ces consoles remonte à longtemps, la marque profitant de sa juste part d’exclusivités devenues assez emblématiques à part entière. Leurs personnages sont devenus des incontournables de la culture pop, y compris les méchants ignobles présentés dans ces jeux.
Certains personnages odieux présents dans les jeux Xbox franchissent vraiment une ligne lorsqu’il s’agit d’infliger une mort et une destruction indicibles partout autour d’eux. Les méchants suivants sont particulièrement remarquables pour être parmi les personnages les plus méprisables de l’histoire du jeu, en grande partie en raison de leur penchant à détruire tout et tout le monde autour d’eux.
7 Haut prophète de la vérité (Halo)
Ce n’est qu’une donnée que le chef du Covenant, qui encourage cette course pour détruire l’humanité elle-même, ferait son chemin sur la liste. Le Haut Prophète de la Vérité semble être un personnage impuissant à première vue, avant que ses véritables motivations sinistres ne se révèlent une fois qu’il acquiert plus de pouvoir et d’influence sur le Covenant.
C’est un personnage vraiment méprisable qui essaiera toujours d’atteindre ses objectifs, quelles qu’en soient les conséquences. Il pourrait être pris en charge d’ici la fin de Halo 3mais à ce moment-là, les dégâts qu’il a causés sont déjà catastrophiques.
6 Caporal suppléant Calder (Dead Rising)
Le Mort ressuscité est l’une des franchises de jeux vidéo les plus appréciées de la bibliothèque Xbox. Alors que le dernier jeu de la série était plus un sac mélangé pour de nombreux joueurs, on ne peut nier le fait que contrôler Frank West une fois de plus était une sensation formidable.
Ce qui a rendu ce jeu encore plus mémorable, c’est le caporal suppléant Calder, le premier zombie du jeu à présenter une conscience et un train de pensée intelligent. Cependant, l’infection avait encore embêté son cerveau pour de bon, l’amenant à croire à une idéologie tordue qui sacrifierait l’intégralité de l’humanité pour ce qu’il croyait être le « plus grand bien ».
5 Reine Myrrah (Gears Of War)
Armement de guerre est l’un des jeux de tir à la troisième personne les plus emblématiques jamais réalisés. Le fait que cette série ait intégré pour la première fois un tournage de couverture dans un jeu vidéo est une preuve suffisante de la révolution des jeux, Marcus Fenix et son équipe sauvant la Terre des menaces extraterrestres à maintes reprises.
La horde de sauterelles est facilement l’une des forces extraterrestres les plus oppressives à essayer d’envahir, il est donc logique que la personne qui les encourage soit un méchant destructeur et odieux. La reine Myrrah entre définitivement dans cette description, sa nature impitoyable indiquant à quel point elle apprécie peu la race humaine.
4 Maligula (Psychonautes)
Psychonautes est l’une des franchises de plateforme les plus uniques et les plus agréables qui soient. Le premier jeu avait son propre méchant ignoble, bien que sa nature destructrice soit loin d’être aussi élevée que celle de l’antagoniste du deuxième jeu.
Le fait que Maligula soit un tueur en série devrait être une preuve suffisante de la façon dont ce méchant est vraiment dérangé. Il faut l’effort de tous les médiums notables pour finalement l’affaiblir et éliminer définitivement sa présence meurtrière.
3 Paul Serein (Pause Quantique)
Dans son cœur, il est indéniable que Paul Serene avait un objectif quelque peu noble en tête. Après tout, la fin des temps n’a rien à se moquer, et c’était formidable de voir ce personnage essayer de faire tout ce qui est en son pouvoir pour empêcher cet événement de se produire.
Cependant, la réalité est que les expériences tordues de Paul ont causé la fracture dans le temps qui conduirait à cet événement apocalyptique en premier lieu. Il n’a personne d’autre que lui-même à blâmer pour le sort vers lequel l’univers se dirige, et la nature impitoyable dans laquelle il s’efforce d’atteindre cet objectif semble être un moyen de se cacher de ses propres responsabilités.
2 Valet de lames (Fable)
L’original Fable est toujours considéré par beaucoup comme l’un des plus grands jeux de rôle occidentaux jamais créés. Le monde d’Albion est une joie à explorer, le héros vieillissant à mesure qu’il progresse et accomplit des quêtes.
Le principal antagoniste du jeu est Jack of Blades, qui est connu pour forcer les gens à faire ses enchères par des actions monstrueuses dans le but de leur enlever leur libre arbitre. Il va sans dire qu’arrêter cet antagoniste serait le besoin de l’heure, et le Héros d’Albion parvient à faire de même… pas seulement une fois, mais deux !
1 Charles Goodwin (répression)
Le Répression La série aurait pu être quelque chose de génial, mais la qualité médiocre du troisième jeu a sans doute mis le clou dans son cercueil plus tôt que prévu. C’est dommage, surtout compte tenu du battage médiatique massif du troisième opus avant sa sortie.
L’antagoniste qui joue un rôle majeur dans les trois Répression games est Charles Goodwin, qui – avec l’Agence elle-même – est responsable du financement des syndicats du crime dans la ville que le joueur doit éliminer. Le raisonnement derrière cela est de faire vivre aux joueurs une anarchie totale avant de pouvoir accepter un contrôle absolu, ce qui est en effet un plan assez tordu.
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