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Jean Louise Finch est une jeune femme vivant à New York. Au début de l’histoire, elle se rend à Maycomb, en Alabama, où elle prévoit de passer ses 2 semaines de vacances avec sa famille. Elle s’attend à trouver son père, Atticus, qui l’attend à la gare, mais à la place, Henry Clinton la rencontre. C’est un ami de longue date et un avocat du cabinet d’avocats d’Atticus. Henry pense que Jean Louise finira par l’épouser et il précise qu’il est désormais en mesure de s’occuper d’eux. Jean Louise hésite sur le sujet, mais pense qu’elle l’épousera probablement à un moment donné.
Jean Louise, surnommée Scout, est le seul enfant survivant d’Atticus. Sa mère est décédée d’une maladie cardiaque alors que Jean Louise était toute petite. Jean Louise avait un frère, Jeremy, décédé très jeune de la même maladie cardiaque. Henry a été laissé à lui-même dès son plus jeune âge et Atticus a joué un rôle actif dans son enfance. Henry a rejoint l’armée puis a fréquenté l’université pour devenir avocat. À cause de la mort de Jeremy, Henry est devenu la personne la plus évidente pour reprendre la majorité du travail dans le cabinet d’avocats d’Atticus. Atticus, au début des années 70, travaille encore presque tous les jours, mais l’arthrite limite ses activités.
La sœur d’Atticus, Alexandra, vit avec Atticus et s’occupe de sa maison et de ses besoins. Son frère, Jack, est un médecin à la retraite qui vit à proximité. La ville est petite et beaucoup de choses restent les mêmes, bien que le changement soit inévitable. Par exemple, l’oncle Jack confronte le chef de chanson lorsqu’il chante une chanson traditionnelle d’une manière différente.
Après l’église de son premier dimanche à la maison, Jean Louise trouve une brochure prônant la suprématie blanche et appelant à la ségrégation continue des races. Jean Louise est horrifiée et encore plus lorsqu’elle constate que sa tante Alexandra est favorable aux idées présentées. Elle apprend qu’Atticus et Henry assistent à une réunion sur des questions raciales et se rend directement au palais de justice pour le savoir. Elle est assise sur le balcon et regarde les dirigeants de la région écouter un homme cracher de la haine contre les Noirs. Jean Louise est très contrariée et évite Atticus et Henry pour le reste de la journée.
Jean Louise rend visite à Calpurnia, une femme noire qui s’est occupée de Jean Louise et de son frère pendant la majeure partie de leur enfance. Calpurnia reconnaît à peine Jean Louise, la laissant remettre en question le lien qu’ils avaient partagé quand Jean Louise était enfant. À la maison, tante Alexandra dit qu’aucune personne blanche du comté ne visiterait une maison noire à cause de la façon dont les noirs traitent les blancs. C’est la première fois que Jean Louise voit le véritable état des relations entre les races dans le comté de Maycomb.
Elle prévoit de passer le reste de ses vacances à éviter autant que possible Atticus et Henry, mais trouve finalement impossible d’éviter une confrontation. Elle confronte Henry qui tente de justifier sa participation au groupe en disant qu’il doit faire tout ce qu’il faut pour s’intégrer à la communauté. Elle affronte ensuite Atticus. Il lui dit qu’elle ne comprend pas la situation. Il dit que les habitants du comté de Maycomb et du Sud dans son ensemble ont le droit de décider comment gérer les problèmes raciaux sans ingérence extérieure, y compris de la part de groupes tels que la NAACP.
Cette confrontation est particulièrement douloureuse pour Jean Louise. Elle a passé toute sa vie à admirer Atticus et a toujours été d’accord avec ses idéaux et ses opinions. Quand elle lui dit à quel point elle est en colère, il dit seulement qu’elle a le droit de ressentir cela. Cela la rend encore plus en colère et elle s’enfuit de son bureau. A la maison, elle fait ses valises et prévoit de partir immédiatement mais son oncle Jack l’en empêche. Il la gifle, ce qui l’oblige à ralentir et à réfléchir à la situation.
Une fois qu’elle a passé la colère immédiate, Jack fait remarquer qu’elle a elle-même des préjugés. Il dit qu’elle pense que sa position est correcte et qu’elle ne veut pas considérer que quelqu’un d’autre a une raison valable de prendre une autre position. Jean Louise se rend compte qu’il a raison et elle est horrifiée d’avoir parlé si durement à son père. Atticus lui dit qu’il est fier d’elle pour avoir défendu ce qu’elle croit être juste.
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