mardi, novembre 26, 2024

La classe par Erich Segal

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Savez-vous ce que ça fait de lire un Erich Segal?

C’est un bras réconfortant quand tu es sombre. Mieux que votre émission de télévision préférée. C’est tellement bon que vous ne pouvez pas vous empêcher de demander pourquoi cela s’est-il terminé ? Vous allez insister sur le fait qu’il est censé écrire plus longtemps ou en série. Et la meilleure chose est qu’après l’avoir lu, vous n’apprendrez jamais à l’oublier – les détails spécifiques de l’intrigue, les leçons éternelles apprises et les personnages complexes mais réalistes de l’histoire.

C’est pourquoi je l’admire et l’aime le plus. il est

Savez-vous ce que ça fait de lire un Erich Segal?

C’est un bras réconfortant quand tu es sombre. Mieux que votre émission de télévision préférée. C’est tellement bon que vous ne pouvez pas vous empêcher de demander pourquoi cela s’est-il terminé ? Vous allez insister sur le fait qu’il est censé écrire plus longtemps ou en série. Et la meilleure chose est qu’après l’avoir lu, vous n’apprendrez jamais à l’oublier – les détails spécifiques de l’intrigue, les leçons éternelles apprises et les personnages complexes mais réalistes de l’histoire.

C’est pourquoi je l’admire et l’aime le plus. Il est meilleur que meilleur. L’auteur ne vous propose pas de séries apocalyptiques exagérées ni de fantasmes hors du commun. Il ne tisse pas un fil juste pour le succès commercial ni pour devenir célèbre et être reconnu. Il est écrivain et plus que cela, UN ARTISTE. Le plus grand de sa génération

La classe, pour être honnête, était à son meilleur. C’est plus époustouflant que celui de Jodi Picoult, plus passionnant que celui de John Grisham, plus intrigant que celui de Dan Brown, plus magique que celui de JK Rowling, mieux écrit qu’un Pulitzer, plus précis qu’un livre d’histoire et plus inspirant, motivant et bouleversant que Og Mandino’s.

Le roman se répand dans les vies discrètes de Harvard Class ’58. L’école a pris sa responsabilité de polir ses élèves pour qu’ils deviennent de futurs dignitaires, les plus recherchés, les plus célèbres, les plus puissants, les plus enviables et les plus élitistes. Au contraire, être heureux était hors du prospectus.

Le plus souvent, les projecteurs se sont concentrés sur cinq chiffres à savoir Jason Gilbert une joueuse de tennis invaincue qui a arrêté ses études de droit après la mort de son bateau de rêve juif des suites du terrorisme dans son pays natal. En déployant la place de ses ancêtres, il a découvert son identité juive, que sa famille avait réussi à cacher et est devenu un héros défendant son pays pour la liberté et l’égalité. Danny Rossi un prodige musical qui rivalisait avec son frère pour l’affection paternelle. Il s’est épuisé en sessions de piano qui l’ont placé au sommet des meilleurs pianistes du monde, remportant un Grammy’s Tony’s et un Pulitzer’s. Accablé de gloire et de reconnaissance, il en paya le prix en ayant un mariage raté et plus tard un trouble neurologique qui l’empêcha de jouer de l’instrument. George Keller un Hongrois qui a quitté son père sans amour pendant une guerre qui fait rage. Il est entré à Harvard avec un seul arsenal de travail acharné, pas même une connaissance de la langue. Cette ingéniosité qu’il possédait lui permit de maîtriser la langue anglaise. Grâce à ses prouesses politiques, des postes enviables au sein du gouvernement américain lui ont été attribués, mais parce qu’il avait été hanté par son passé, son indifférence et son égoïsme ont entraîné un mariage raté et des déceptions personnelles. Ted Lambros un classique grec qui espérait devenir PROFESSEUR à HARVARD. Il s’est plongé dans l’écriture de son 2e livre après que son alma mater l’ait largué. Cette lutte fut une vengeance qui déboucha sur un divorce et un fiasco paternel. André Eliot pressé par l’héritage ancestral, il était moins entendu car sa vie n’était pas du tout mouvementée mais l’important c’était qu’il avait un travail, une famille (quoique brisée) et une fille qui lui rendait son amour.

Ce qui est étonnant dans ce livre, c’est son réseau d’histoires, allant de plus que des dilemmes profonds aux agneaux sacrifiés pour le succès, des récits historiques de la guerre à l’histoire présidentielle américaine, des inégalités raciales au pouvoir des femmes, des moments d’amour aux fins malheureuses.

Je vais blasonner dans mon esprit les leçons que j’ai apprises en La classe . La lecture de ce livre suscite un sentiment d’envie chez les étudiants de Harvard.

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