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Lecture terminée : août 2015
Note : 2/5 & 3/5
J’ai lu les cinq quarts du vin d’orange et de mûre de Harris dos à dos, je vais donc les revoir ensemble. Ils sont très similaires, en fait ; Un peu trop. Les deux présentent des protagonistes féminines principales qui ont des personnalités fortes, fières, indépendantes et retranchées, peu disposées à accepter, et encore moins à demander aux autres toute sorte d’aide. Dans les deux cas, ils ne sont pas le personnage principal, mais en tant que centre d’intérêt du protagoniste, ils sont aussi, sinon plus, importants.
Dans Cinq quarts d’orange, ce personnage féminin audacieux est Mirabelle Dartigen, la mère du narrateur actuel Framboise Simon.
Dans Blackberry Wine, Marise d’Api est le personnage principal féminin, la voisine hostile, fermée et mystérieuse de l’écrivain Jay Mackintosh.
Comme dans tous les romans de Harris – la touche singulière qui assure mon retour d’intérêt pour ses romans – les deux romans contiennent un aliment qui sert d’élixir salvateur et l’ajout irremplaçable de magie et de fantaisie. Le premier utilise une orange dont l’odeur augmente inexplicablement les crises d’angoisse de Mirabelle (depuis quelque temps, admettant des violences verbales et parfois physiques de sa part, Framboise laisse subrepticement des écorces d’orange s’infiltrer par la ventilation afin de gagner un sursis). Dans ce dernier, l’élixir est un vin à base de fruits, en particulier un ensemble de millésimes ’75, que Jay Mackintosh trouve dans les vestiges de Pog Hill il y a des décennies, lorsqu’il revient l’été après sa disparition inopinée.
Five Quarters of the Orange raconte une histoire multigénérationnelle avec des mensonges, des secrets, une base de données familiale, mais avec la rédemption, l’amour, la guérison et la persévérance qui brillent partout. Framboise, ayant eu une relation ténue avec sa mère moins qu’idéale (abusive, en fait) toute sa vie, elle est surprise de découvrir des secrets rédempteurs écrits en code dans un livre de cuisine bien-aimé qui lui appartenait. Son enfance a eu lieu pendant l’occupation nazie, provoquant des difficultés plus que typiques dans ses jeunes années. Avec ses frères et sœurs Cassis et Reinette, ils commencent à s’associer avec un officier allemand nommé Leibwitz. Pour diverses raisons, chacun idolâtre, au point de compromettre son intégrité en devenant des informateurs, fournissant des informations que Leibwitz utilise pour faire chanter ses voisins. Ils rationalisent cela en se convainquant ainsi qu’entre eux que c’est inoffensif ; ce ne sont que des mots, après tout, et ce n’est pas comme si les Allemands tuaient quelqu’un. (Bien qu’un soir, il y ait un décès lié quelque peu accidentel.)
Framboise tombe le plus amoureux de Liebwitz. En fait, en tombant vraiment amoureux de lui. Ce qui conduit à l’événement qui est resté caché pendant des années, des décennies, dans la famille. L’événement qui a changé chacune de leurs vies pour toujours. Lorsqu’il dit au jeune Framboise qu’il ne peut plus la revoir, probablement plus jamais, elle pleure, implorant qu’il n’en soit pas ainsi. Lorsqu’il refuse ses supplications, elle le convainc désespérément de nager jusqu’à une zone dangereuse du lac, simplement pour passer plus de temps avec lui. Il est pris dans une racine sous l’eau et se noie. Les trois, Cassis, Reinette et Framboise, font subrepticement disparaître le corps, et ne discutent plus jamais de l’incident. Leur mère, bien qu’elle n’ait montré aucun amour pour eux toute leur vie, les couvre quand elle l’apprend. Ils ne savent jamais jusqu’à nos jours qu’elle savait même.
Tous ces événements conduisent toute la ville à fuir la famille, et suite à une situation de trop, ils fuient dans des directions séparées, échappant à peine à la mort par la colère des voisins et doivent désigner un bouc émissaire. Bien sûr, il y a aussi l’aspect amoureux, un ami d’enfance, Paul, qu’elle finit par laisser entrer. Ensemble, ils apprennent à guérir. Si ce n’est d’oublier, mais d’accepter le passé, leurs secrets personnels, et Framboise se réconcilie enfin avec sa mère.
Blackberry Wine que j’aimais beaucoup moins. Jay ressemblait honnêtement à un adulte immature, laissé dans le passé. Pire encore, il en est conscient, mais assez nonchalant à l’idée de changer. Ses relations personnelles sont minimes, il se permet à peine des aspirations, évitant tout vrai travail. Honnêtement, aucun des autres personnages principaux n’était vraiment meilleur. Son intérêt amoureux, Marie A’pi, est une personne négative et fermée pour la plupart du roman. Le fantôme de Joe est plus aimable, mais honnêtement sa présence était déroutante. Je suis généralement un fan de réalisme magique, mais l’aspect fantômes/spiritualité n’était pas parfaitement intégré à l’histoire. il se démarquait définitivement, ce qui donnait l’impression que la lecture était décalée. Kerry, son amour initial, a été écrit comme une garce, clair et simple. Tous les autres personnages de la nouvelle ville, voisins de Jay, n’ont pas été très explorés. Les parents de Marise (semblables aux voisins de Five Quarters of an Orange) étaient froids et ne voulaient pas être compréhensifs, ne croyant que ce qu’ils voulaient croire.
Le seul personnage qui a été bien écrit pour moi était son ami d’enfance à l’époque de Pog Hills. Gilly était courageuse, courageuse et avait un esprit qui était aimable plutôt que peu attrayant. La fille de Marise, que Jay confond d’abord avec elle, est sur le point de ramener l’esprit.
En tout, deux lectures amusantes, mais je suis toujours à la recherche d’un livre de Harris dans lequel la profondeur et la signification globale de ses mots et de ses histoires correspondent à la façon dont elle a perfectionné le ton de la magie et de la fantaisie.
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