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Quoi qu’il en soit, le mois dernier, je me promenais dans la Fnac à Bruxelles, en Belgique, pour découvrir leur bibliothèque allemande et principalement celles-ci m’intéressaient :
* Frank Schätzing – Limit (pour 9,99 EUR) : Je veux lire celui-là, mais pourquoi doit-il être en si petits caractères ? 🙁 The Swarm (même la version à couverture rigide que j’ai) a également une petite impression.
* Frank Schätzing – Die Dunkle Seite
* Walter Moers – Die Stadt der Träumenden Bücher
* Walter Moers – Das Labyrinth der Träumenden Bücher (sorte de suivi de Die Stadt…)
Après mûre réflexion (lire le dos, lire un peu du texte à l’intérieur), j’ai acheté Walter Moers – Die Stadt der Träumenden Bücher. Il semble que les livres ne doivent pas être lus dans l’ordre, après tout. Sauf bien sûr pour ceux qui sont liés les uns aux autres, comme Die Stadt der Träumenden Bücher et Das Labyrinth der Träumenden Bücher.
Oui, j’ai lu le livre en allemand, pour des raisons évidentes. Mais Die Stadt… est donc un livre autonome et parfait en lui-même.
Et quel voyage/voyage ça a été ! Préparez-vous à une évasion hors du monde réel. L’histoire principale du livre mise à part (voir la description sur la page du livre ou sur Zamonien.de, vous verrez qu’il y a deux parties : 1) Danzelots Vermächtnis, et 2) Die Katakomben von Buchhaim.
Dans la première partie, vous découvrirez le voyage de Hildegunst von Mythenmetz du Lindwurmfest à la célèbre ville de Buchhaim, où tout tourne autour des livres et de la vente de livres dans les nombreuses librairies antiquaires. Les livres de grande valeur, les livres de moindre valeur, mais surtout ceux de La Liste d’Or étaient très recherchés et chers. Cette partie était drôle, ce fut une lecture très agréable. Walter Moers a également utilisé de nombreux mots tout au long du livre que je ne connaissais pas/ne connaissais pas encore, mais lorsque vous lisez les phrases, le contexte, il est alors relativement facile de savoir de quoi il parle.
La deuxième partie est l’endroit où se déroule toute l’aventure. Et c’est une aventure. Indiana Jones n’a rien sur Hildegunst von Mythenmetz. Ajoutez une énorme quantité d’imagination en termes de livres, de créatures vivant sous terre, de livres vivants, d’ombres et de tout ce qui concerne les livres, en particulier l’importance de l’écrit sous forme de poésie ou d’histoires. Parce que c’est une autre chose que l’on peut lire de temps en temps : des morceaux de poésie, qui ont alors un impact à ce moment même ou plus tard dans l’histoire.
Die Stadt der Träumenden Bücher est (comme le disait Die Welt) une énorme déclaration d’amour à la littérature et à la lecture. C’est, à mon avis, un livre à plusieurs niveaux, pas seulement sur les livres et la lecture. Il contient aussi des éléments d’amitié (et d’inimitié), de commerce, de philosophie, comment surmonter les obstacles dans la vie (par exemple au début c’est facile, mais quand ça devient dur, il faut continuer – sinon, pourquoi l’avoir commencé quand même ? – pour à la fin, vous serez content d’avoir persisté), et ainsi de suite. De plus, une énorme dose de trucs amusants et pleins d’esprit.
C’est un livre passionnant, vous êtes encouragé à le lire, pour découvrir ce qui va se passer ensuite, ce qui se cache d’autre dans les catacombes sous Buchhaim. À un moment donné, disons les 100 dernières pages, j’avais du mal à lire. Mon esprit n’en pouvait plus et j’étais sur le point de faire une pause lecture (après avoir terminé Die Stadt…). Mais au fur et à mesure que j’avançais, la joie de lire et de vivre l’aventure avec Hildegunst, le plaisir s’est ravivé avec facilité.
Walter Moers a une sacrée imagination, ayant écrit une histoire que je n’ai jamais lue auparavant ; utiliser un vocabulaire qui rend la lecture simple, même s’il est en allemand. Car, franchement, je pense qu’il faut bien le lire en allemand. Et même si vous pensez peut-être que les dessins (faits par mon Walter Moers lui-même) et le contexte semblent « pour enfants », je peux vous assurer qu’il s’agit d’un livre pour adultes.
L’histoire m’a fait rire à plusieurs reprises, elle m’a attiré à l’intérieur pour – comme je l’ai dit auparavant – expérimenter les dangers et d’autres expériences par moi-même (ou à travers mon imagination). Cela aussi – vers la fin – m’a fait verser une larme ou deux, alors que la tournure inattendue (Buchlinge revenant à la surface) a eu lieu, mais aussi que la grande amitié entre les personnages principaux a cessé d’exister. Non, je ne veux pas donner trop de détails.
J’aime aussi la façon dont Walter Moers donne un petit coup de fouet à l’industrie du livre, en déclarant qu’une grande partie de ce qui sort est en fait des ordures, des trucs grand public, faciles à lire et à digérer, des trucs sans cervelle (extrêmement mis). Que les bénéfices proviennent de la quantité de papier vendu, pas des mots écrits sur ce papier.
Pour faire court : absolument merveilleux ! L’une des meilleures histoires que j’ai jamais lues. Fortement recommandé!
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Deutsch : folgt chauve.
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