dimanche, novembre 24, 2024

Nature morte (inspecteur en chef Armand Gamache, #1) de Louise Penny

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Critique cinématographique

Note du livre : 4,5* sur cinq

L’éditeur dit: Gagnant des prix New Blood Dagger, Arthur Ellis, Barry, Anthony et Dilys.

L’inspecteur-chef Armand Gamache de la Sûreté du Québec et son équipe d’enquêteurs sont appelés sur les lieux d’une mort suspecte dans un village rural au sud de Montréal et pourtant aux antipodes. Jane Neal, une résidente de longue date de Three Pines, a été retrouvée morte dans les bois. Les habitants sont certains qu’il s’agit d’un tragique accident de chasse et rien de plus que l’odeur de Gamache

Critique cinématographique

Note du livre : 4,5* sur cinq

L’éditeur dit: Gagnant des prix New Blood Dagger, Arthur Ellis, Barry, Anthony et Dilys.

L’inspecteur-chef Armand Gamache de la Sûreté du Québec et son équipe d’enquêteurs sont appelés sur les lieux d’une mort suspecte dans un village rural au sud de Montréal et pourtant aux antipodes. Jane Neal, une résidente de longue date de Three Pines, a été retrouvée morte dans les bois. Les habitants sont certains qu’il s’agit d’un tragique accident de chasse et rien de plus, mais Gamache sent quelque chose de nauséabond en cette période des fêtes… et est bientôt certain que Jane est morte aux mains de quelqu’un de bien plus sinistre qu’un chasseur à l’arc imprudent.

Avec ce premier roman primé, Louise Penny présente un héros attachant dans l’inspecteur Gamache, qui commande ses forces – et cette série – avec puissance, ingéniosité et charme.

Mon avis: Oh, les ravissements d’un premier roman qui inaugure aussi une série mystère ! C’est comme ton premier morceau de gâteau d’anniversaire quand tu étais enfant… OMIGOD c’est bien attend whaddaya veux dire je dois attendre encore une année entière pour en avoir un autre tu pues et tu es méchant *waaahIwantmymommy*

Mais les vieux rusés de la cinquantaine comme moi attendent. Nous nous cachons derrière la boulangerie, reniflant les esters ineffables des gâteaux d’anniversaire destinés aux inexpérimentés, aux impatients et aux aveugles, éliminant mentalement ces parfums suivis de près par les gémissements et les gorgées d’extase, attendant notre heure et accumulant nos calories de livre (aka argent) pour voir quels yumyums annuels produisent constamment ces sons et ces odeurs.

Le voici, mesdames et quoi d’autre, le premier gâteau d’anniversaire de la pâtissière canadienne Louise Penny, et mon DIEU en valait la peine !

Un ami me l’a envoyé comme cadeau de Noël. C’est venu après que le même ami ait déliré et sauté de haut en bas et a chanté les louanges de la série, mettant en vedette l’inspecteur Gamache de la Sûreté de Québec (je ne peux pas m’en empêcher, j’entends des bottes de la Gestapo et des euro-sirènes à chaque fois que je vois ce mot ) et les habitants étranges et décalés de Three Pines, au Québec. J’étais pratiquement haletant d’impatience d’obtenir ce paquet qui, lorsqu’il est arrivé, s’est avéré contenir *plusieurs* de la série Gamache.

Étant une bonne Vierge, j’ai attrapé le premier de la série et j’ai appliqué les yeux sur la page. Régulièrement. Pendant quatre heures. J’avais alors terminé aux 2/3 avec le livre et je me suis *forcé* de le poser parce que a) je devais promener le chien, b) je devais nourrir ma tante de 91 ans, et c) je devais pipi.

Parlons un instant des séries mystères. Je les aime, comme les lecteurs des critiques précédentes s’en souviendront, car ils satisfont mon besoin d’ordre, pour que le monde fonctionne *correctement* pour changer. Je pense que beaucoup de gens ressentent la même chose que moi. Mais une série, itération après itération d’intrigues/personnages/motivations/dialogues similaires… qu’est-ce qui fait qu’un consommateur averti de Lit’rachure comme moi, et tant d’autres lecteurs de Goodreaders, cherche/recherche ces livres ? Confort? Oui, mais… Facilité ? Oui, mais… Qualité.

Certains des meilleurs récits de la littérature d’aujourd’hui se déroulent dans les mystères et les thrillers.

Oui, vous pouvez aimer ou détester l’écriture de Grisham, mais vous ne pouvez en aucun cas blâmer son œil pour une histoire. Vous pouvez dire que ce n’est pas à votre goût personnel, mais n’ESSAYEZ même pas de dire que ce n’est « pas bon ». De même James Patterson, Stephen King, Iris Johansen, et alii. Il y a une raison pour laquelle ces gens sont des best-sellers, et ce n’est PAS parce que les gens n’ont aucun goût. C’est que ce sont des conteurs, des artistes, des créateurs de mondes que nous, les gens, voulons habiter, ne serait-ce que pour un instant.

Comme Homer, puis-je rappeler aux snobs. Personne ne pensait beaucoup aux trucs d’Homer, sauf que c’était très amusant. Personne n’a même pris la peine de l’écrire pendant quelques siècles *après* l’invention de l’écriture. Quelque part sur le Fois La liste des best-sellers est l’œuvre de l’Homère pour lequel on se souviendra de notre culture, et il est peu probable que ce soit Faulkner. (Pensée horrible : et si c’était HEMINGWAY ?!?)

Louise Penny’s Three Pines est un endroit où je veux aller et rester, manger la cuisine généreuse de Gabri et flirter avec Olivier et convoiter de loin Peter inaccessible et bavarder avec Ruth … puis s’installer pour un long et tranquille snifter avec Gamache et Beauvoir et Clara, pour y réfléchir et arriver à une conclusion raisonnée sur la vie. Je suis là avec ces gens, ces créations de mots sur la page qui ont la vie que seul un puits profond de talent peut arroser dans l’existence. Je les crois. Je pense que vous aussi.

J’offre ce moment tout près de la fin du livre, quand Clara se rend compte qui a assassiné son meilleur ami :

Clara fixa son reflet dans la fenêtre de la cuisine de la victime. Une femme fantomatique et effrayée se retourna. Sa théorie avait du sens.
Ignore-le, dit la voix à l’intérieur. Ce ne sont pas tes affaires. Laissez la police faire son travail. Pour l’amour de Dieu, ne dites rien. C’était une voix séduisante, une voix qui promettait la paix et le calme et la continuation de sa belle vie à Three Pines. Agir sur ce qu’elle savait détruirait cette vie.
Et si vous vous trompiez ? roucoulait la voix. Tu vas blesser beaucoup de gens… Mais Clara savait que la voix mentait. Lui avait toujours menti. Clara le saurait et ce savoir finirait par détruire sa vie de toute façon.

Si cela ne vous fait pas courir pour obtenir ce livre, rien d’autre que je peux dire ne le fera.

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Note : 2,5* sur cinq

Le cinéaste dit: Lorsqu’un instituteur bien-aimé est retrouvé mort, la possibilité d’un meurtre laisse la ville pittoresque de Three Pines horrifiée dans ce drame policier basé sur le roman primé de Louise Penny. Le film sur Acorn.tv

La critique du film: Bien maintenant. Je ne sais pas ce qui a poussé Louise Penny à prendre ses distances par rapport au film de son premier roman, et pour autant que je sache, elle n’a pas révélé publiquement la cause de sa rupture avec les cinéastes.

Le seul acteur que j’ai reconnu dans le casting était Gamache, joué par Nathaniel Parker. J’ai eu un ou deux vertiges quand j’ai vu pour la première fois Peter Morrow, joué par un Gabriel Hogan. J’étais sûr aussi sûr que possible que c’était Henri Rollins avec une mauvaise teinture et après un lifting. Ensuite, je me suis demandé si M. Hogan était peut-être, euh, un produit des années de rock star de Rollins… non, né en 1973… alors n’y allez pas…

Et voyez-vous maintenant le problème? J’ai pu tracer ces arabesques et suivre ces fantaisies car je n’étais donc pas du tout enveloppée dans le film. Parker fait un travail plutôt bof en tant que Gamache, la dame qui joue Clara n’a rien de spécial, nous n’entendons même pas BOO de Myrna, Gabri et Olivier semblent être des connaissances avec un passé formel. Et puis il y a la police : Lacoste a l’air bien et n’est pas très occupé à l’écran, Jean-Guy est sans bord, mais puis il y a l’agent Nicol. Elle est parfaitement moulée pour l’attitude, est Susanna Fournier. Réussi à être comme Nicol dans le livre.

Quelle que soit l’alchimie qui fait une grande adaptation cinématographique, il manque à celle-ci. C’est joli à regarder. Les acteurs ne sont pas terribles dans les rôles. Le scénario a les événements dans l’ordre. Et à la fin des 88 minutes, je n’étais absolument pas intéressé à en voir plus.

Mauvais, mauvais signe.

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