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La longueur fera fuir les lecteurs….(dommage). Ce n’est pas moi.
Lorsque mon amie proche, Lisi, *s’est allumée* lorsqu’elle a mentionné à quel point ce livre était bon… J’ai immédiatement su que je voulais le lire – je l’ai poussé au sommet de ma lecture. (Merci, Lisi).
Le titre vient de l’histoire biblique de David et Goliath, o
La longueur fera fuir les lecteurs….(dommage). Ce n’est pas moi.
Lorsque mon amie proche, Lisi, *s’est allumée* lorsqu’elle a mentionné à quel point ce livre était bon… J’ai immédiatement su que je voulais le lire – je l’ai poussé au sommet de ma lecture. (Merci, Lisi).
Le titre vient de l’histoire biblique de David et Goliath, du Premier livre de Samuel : « Puis il [David] A pris son bâton à la main, a choisi cinq pierres lisses du ruisseau, les a mises dans une poche de son sac de berger et, sa fronde à la main, s’est approchée du Phillistin [Goliath]”.
Nous rencontrons le protagoniste David Champlin, un homme noir, boiteux à cause d’une mauvaise jambe, d’un accident qu’il a eu lorsqu’il était enfant, appelé un chili lorsqu’il était bébé, le petit-fils de Lil’l Joe Champlin, qui est né dans la pauvreté pendant le période de dépression à la Nouvelle-Orléans. Nous suivons son histoire alors qu’il vieillit de la naissance à l’âge adulte….de la pauvreté au succès….de son éducation – un universitaire – à Pengard, Harvard et Oxford…..
et devient avocat, avec l’aide d’un grand professeur, Bjarne Knudsen, du Danemark……et les complexités de l’amour et du mariage avec Sara Kent, une fille blanche, qui aimait David dès le moment où elle l’a vu pour la première fois.
Il y a beaucoup de laideur qui est révélée à propos du racisme et de l’injustice…..
En même temps, ce livre est tellement tellement tellement bon……puissant au possible ! Il contient tout ce qui est important : l’amour, la perte, la famille, le travail acharné, la mort, la moralité, les horreurs, l’intégrité, l’injustice, l’adversité > le tout dans le contexte d’une narration phénoménale.
Je ne pense pas que je l’oublierai. Ann Fairbairn était une conteuse magistrale. Cela a laissé un profond impact personnel.
La fin est déchirante.
« Mentir aux Blancs était une réalité ; c’était comme garder la tête haute et les yeux levés lorsque vous travailliez sur les quais autour des grues, parce que les grues pouvaient signifier une mort horrible. Mais s’il a donné sa parole à un homme, de couleur ou de blanc, il l’a tenue. S’ils ne gardaient pas le leur, le sien n’était pas rendu ».
«Certains des gars de couleur se terre et n’auront rien à voir avec personne, et certains d’entre eux jettent leur poids, et de toute façon, ce n’est pas bon. La plupart des étudiants vont bien. Certains d’entre eux puent. Où trouveriez-vous cela différent ? La faculté est OK
La plus grande partie. Vous devez ressentir votre propre chemin.
« Un gars n’avait pas à se soucier de Crow à la Nouvelle-Orléans parce qu’il était toujours là,
mais là, tu devais le flairer, faire le tour comme un foutu vieux mec avec le nez qui se contracte ».
Roman incroyable !!!
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