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« Gandhi, l’homme » d’Eknath Easwaran est un examen des débuts, de l’inspiration, du travail et de la vie publique et privée du Mahatma Gandhi. Easwaran est issu d’un milieu très semblable à celui de Gandhi et trouve donc une inspiration particulière dans sa transformation de soi. Le livre s’ouvre sur l’histoire des débuts de Gandhi, sa performance lamentable en tant qu’étudiant et sa maladresse sociale, et se déplace à travers son éducation en Angleterre lorsque son évolution commence. Il reconnaît qu’il y a des excès sans lesquels sa vie est plus simple et plus heureuse, même s’il ne rentre pas dans un idéal culturel. Son travail d’avocat, bien que mal commencé, l’amène dans des circonstances où il est capable d’arranger des résolutions qui sont également bénéfiques pour les deux parties dans un litige, et sa réputation se répand dans toute l’Afrique du Sud où il travaille. C’est là qu’il est frappé par l’idée du satyagraha comme protestation, lorsqu’il constate le traitement injuste de ses compatriotes indiens qui y vivent sous de cruels préjugés. Il y simplifie encore plus sa vie, se faisant comme le peuple dont il adopte la cause, ne réservant rien à son profit. De retour en Inde, il poursuit son travail en enseignant au peuple comment se lever pour protester pacifiquement contre le régime tyrannique de l’Angleterre, et affine encore sa philosophie.
Ses idées et leur inspiration sont décrites en détail, tout comme le travail qu’il fait en Inde dans la deuxième section, intitulée « The Way of Love ». Easwaran décrit l’amour de Gandhi pour la Bhagavad Gita et son dévouement à rendre ces idées manifestes dans toutes ses actions, voire à les laisser transformer toute sa personnalité. Il décrit les concepts de satygraha, ou dévouement à la vérité, et d’ahimsa, ou non-violence, et la manière dont il a démontré et inculqué ces idées à la fois aux personnes qui l’ont suivi et aux personnes dont elles étaient censées réformer le leadership. Les dirigeants britanniques ont tellement remarqué le leadership de Gandhi qu’ils l’ont invité à des tables rondes sur l’orientation future de la présence britannique en Inde.
Ensuite, Easwaran porte son attention sur les antécédents spirituels de Gandhi et sur l’influence de son infirmière d’enfance, Ramba, sur sa spiritualité. Son mantram de toute une vie de rama, rama, rama, invoquant la joie, la paix et l’amour lui a été donné par Ramba, et était destiné à apaiser sa peur. Il décrit également la valeur et la méthode de la méditation, et le lecteur a un aperçu profondément touchant de la valeur qu’elle a servie dans la vie de Gandhi, même dans ses derniers instants, alors que la description de Gandhi par Easwaran se termine par un regard intime sur Gandhi dans ses interactions les plus personnelles. . Ses activités quotidiennes se déroulaient en présence d’adeptes dévoués qui étaient comme la famille de Gandhi, et sa beauté était due au fait qu’il était imprégné dans ses moindres détails des vérités auxquelles il avait consacré sa vie. Ces idées sont examinées de près pour leurs applications pratiques dans l’annexe du livre, écrit par Timothy Flinders.
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