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Paysan 1 : As tu entendu? Rosencrantz et Guildenstern sont morts ?
Paysan 2: Vraiment mort ?
Paysan 1 : Vraiment mort.
Paysan 2: Vraiment?
Paysan 1 : Vraiment vraiment.
Paysan 2: Vraiment, vraiment, vraiment ?
Paysan 1 : Vraiment, vraiment, vraiment.
Paysan 2: Vraiment, vraiment, vraiment, vraiment ?
Paysan 1 : Voudriez-vous arrêter ça? Ils sont morts aussi morts que possible – ce qui est en fait assez mort.
Paysan 2: Assez mort en effet.
Paysan 1 : Mais ce ne sont pas les jolis morts.
Paysan 2: Fe
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Paysan 1 : As tu entendu? Rosencrantz et Guildenstern sont morts ?
Paysan 2: Vraiment mort ?
Paysan 1 : Vraiment mort.
Paysan 2: Vraiment?
Paysan 1 : Vraiment vraiment.
Paysan 2: Vraiment, vraiment, vraiment ?
Paysan 1 : Vraiment, vraiment, vraiment.
Paysan 2: Vraiment, vraiment, vraiment, vraiment ?
Paysan 1 : Voudriez-vous arrêter ça? Ils sont morts aussi morts que possible – ce qui est en fait assez mort.
Paysan 2: Assez mort en effet.
Paysan 1 : Mais ce ne sont pas les jolis morts.
Paysan 2: Peu sont jolies quand elles sont mortes.
Paysan 1 : Être sûr.
Paysan 2: Était-ce un meurtre ?
Paysan 1 : Oh oui, c’était le meurtre d’un spectacle. Toute la foule a demandé leur argent en effet.
Paysan 2: Et qui a bien pu faire la sale besogne ?
Paysan 1 : Arrête ça, nous ne sommes pas des ménestrels pour finir nos rimes.
Paysan 2: Ou nettoyer les crimes de l’autre.
Paysan 1 : J’ai presque envie de vous laisser rejoindre Rosencrantz et Guildenstern, ne voyez-vous pas que notre public se lasse d’une telle absurdité ? Bien que l’absurdité puisse être notre part (les paysans ensemble) l’absurdité pour rire perd vite tout sens de l’art.
Paysan 1 : Comme je l’ai entendu, je pense que Hamlet peut être à blâmer pour la mort de ces deux hommes. J’ai entendu dire qu’il avait remplacé une lettre – avec des instructions pour le tuer – par une autre portant des instructions pour leur mort.
Paysan 2: Tout à fait la rumeur. D’où vient cette lettre originale, je me demande?
Paysan 1 : Oh, c’est assez facile à dire. Il venait de Claudius, le cher oncle d’Hamlet.
Paysan 2: Ainsi fut dite lettre – dont nous n’avons pas vu…
Paysan 1 : Autant nous n’avons pas vu Rosencrantz ou Guildenstern…
Paysan 2: …donc une lettre pour sortir maître Hamlet de sa misère funky ?
(Entrent le Dr John Watson et Sherlock Holmes)
John Watson : Je dis, Sherlock, nous n’appartenons même pas à ce type de fiction.
Sherlock Holmes: Mon cher Watson, vous oubliez que c’est maintenant un meurtre mystérieux. Et le meurtre est tout à fait dans notre domaine d’expertise.
Les deux paysans : (se tourne vers le public) En plus de les engager, nous l’espérons.
Watson : Alors, je suppose que vous avez déjà pris une décision sur cette affaire Holmes ?
Holmes : Indubitablement, mon brave. La solution est assez évidente.
Watson : C’était donc Hamlet après tout, ses mains sont certainement les plus coupables.
Holmes : Pourquoi bien sûr pas Watson. Ne soyez pas ridicule. Ce n’est pas Hamlet après tout qui a initié les débuts de ce meurtre.
Watson : Claudius alors, c’est sa lettre qui a envoyé deux hommes à leur destin.
Holmes : Ah, Watson, vous voyez mais vous n’observez pas.
Watson : Vous ne voulez certainement pas insister sur le fait que Rosencrantz et Guildenstern sont responsables des décès eux-mêmes ?
Holmes : Essayez de suivre Watson, j’ai dit meurtre, et je voulais dire meurtre. Ce n’est pas une affaire de suicide, c’est un meurtre suite à une tentative de régicide, des plus ignobles.
Watson : Pourquoi alors, Holmes, quelle que soit la solution ?
Holmes : Il n’y a clairement rien de plus insaisissable pour toi Watson qu’un fait évident. Il s’agit d’un meurtre commis il y a des siècles, un meurtre qui continue de hanter l’ici et maintenant. Dans plusieurs mondes différents à cette époque, plusieurs versions de Rosencrantz et Guildenstern sont à nouveau assassinées. Le vrai criminel – celui qui reste comme vérité – est clairement le vieux barde lui-même. Monsieur William Shakespeare.
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« Nous sommes des tragédiens, voyez-vous. Nous suivons les instructions – il n’y a pas de choix impliqué. La mauvaise fin malheureusement, la bonne malheureusement. C’est ce que signifie la tragédie. »
Le reste de cet avis a été déplacé sur mon site Web. Si vous souhaitez le lire, veuillez cliquer sur le lien suivant : REVUE COMPLÈTE DE ROZENCRANTZ ET GUILDENSTERN SONT MORTS
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