[ad_1]
Ce livre était vraiment mignon. Qui savait que « La Belle au bois dormant » (Gwen) avait une petite soeur ? Pour éviter d’autres malédictions indésirables, la jeune Annie a été bénie (ou maudite ?) avec une immunité à la magie. Ni bon ni mauvais ne fonctionne sur elle, elle grandit sans aucun des cadeaux féeriques habituels. Pas remarquablement belle (contrairement à sa sœur, la plus belle fille du pays), pas dotée de grâce ou d’une bonne voix chantée. Rien. Avec ce don vient la capacité de neutraliser le don (ou le sort) de n’importe qui qui s’est approché d’elle. La célèbre beauté de sa sœur s’estompe en sa présence. Annie vit donc aussi loin que possible de son père, de sa mère et de sa sœur tout en étant honorée en tant que membre de la famille royale.
Lorsque Gwen pique son doigt et que tout le monde dans le château s’endort, Annie est la seule à rester éveillée ! Déterminée à rechercher le véritable amour de sa sœur, Annie se lance dans un voyage pour rassembler tous les princes qu’elle peut trouver. Rejointe par le beau garde Liam, elle rencontrera tout un tas d’ours enchantés, de sorcières avides (si oublieuses) et de royautés convainquantes avant d’avoir terminé.
Comme je l’ai dit, le livre était très mignon. Le personnage d’Annie est très sympathique, un âge parfait pour le groupe d’âge ciblé (et, comme j’ai trouvé ce livre en cherchant quelque chose de complètement différent pour Anna dans la section des enfants, je suppose que le groupe d’âge est comme la première année au pré-adolescent )
Ce qui m’a vraiment frappé, c’est quelque chose que j’ai beaucoup repris dans les livres de ce genre. Le personnage principal, Annie, est à la fois héros et héroïne. Je ne sais pas si cela a beaucoup de sens, mais des lignes de pensée très similaires ont lieu dans des livres similaires, comme Dragon Slippers ou même The Frog Princess (du même auteur). Alors qu’un « héros » vient toujours aider la belle demoiselle, elle fait tout. C’est par sa capacité que le dragon ou n’importe quel méchant pourrait être vaincu, par sa capacité/don unique qu’elle sauve le prince/soldat/héros de nombreuses fois, et elle se jette toujours tête baissée dans le danger, avec peu d’avertissement, faisant la vie des pauvres dit héros plutôt fou.
Pourquoi soulever cela ?
Deux raisons. La première est que le même dit livre laisse pendre le pauvre héros, souvent révélé comme tel, sans rien faire. L’héroïne donne des coups de pied aux fesses et prend des noms, lui sauvant constamment la vie et fait paraître son personnage tout à fait inutile.
La deuxième raison est que « The Wide-Awake Princess », tout en suivant une ligne si commune, donne au héros une bien meilleure chance. S’il est, à l’occasion, sauvé par Annie, il est parfaitement capable de se prendre en charge. En fait, bien qu’Annie puisse se sauver de la tour de Raiponce, il n’est pas loin pour la chercher. Annie ne s’immisce pas et ne se laisse pas entraîner dans des problèmes, mais Liam non plus. Elle parvient à être la jeune femme forte et parfaitement capable à laquelle les lecteurs s’attendent, Liam est autorisé à être un héros parfaitement capable et vraiment très sympathique, qui (contrairement à la princesse grenouille – à mon grand dégoût) n’a pas d’obsession pour embrasser l’héroïne, mais utilise plutôt la chevalerie pour exprimer son affection. En fait, chevaleresque est un très bon mot pour le décrire 🙂
Une bonne variété de personnages et une intrigue vraiment intéressante, j’ai apprécié « The Wide Awake Princess » d’ED Baker (même si je suis un peu vieux pour ça 😉 )
[ad_2]
Source link