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Anne Hobbs est une jeune femme de dix-neuf ans qui décide qu’elle veut enseigner dans la nature sauvage de l’Alaska.
« Depuis que j’étais une fille, j’avais été ravie à l’idée de vivre à la frontière, alors quand on m’a proposé le poste d’enseignante dans une colonie d’extraction d’or appelée Chicken, j’ai tout de suite accepté.«
Le voyage lui-même jusqu’à Chicken est ardu et Tisha a de nombreuses aventures. Elle rencontre un grizzli, croise (de trop près !) un troupeau de caribous, un
Anne Hobbs est une jeune femme de dix-neuf ans qui décide qu’elle veut enseigner dans la nature sauvage de l’Alaska.
« Depuis que j’étais une fille, j’avais été ravie à l’idée de vivre à la frontière, alors quand on m’a proposé le poste d’enseignante dans une colonie d’extraction d’or appelée Chicken, j’ai tout de suite accepté.«
Le voyage lui-même jusqu’à Chicken est ardu et Tisha a de nombreuses aventures. Elle rencontre un grizzli, croise (de trop près !) un troupeau de caribous, et est presque emportée avec son cheval au milieu d’un ruisseau déchaîné. Pendant le voyage, Anne fait face à l’épuisement, aux inconforts de longues heures en selle et à un cheval irritable qui refuse de lui obéir. Sur la piste, elle se souvient de ceux qui ont contribué à sa vie, qui l’ont encouragée à être forte et à prendre des décisions par elle-même ; son professeur de lycée Ivy et sa grand-mère.
« Elle (grand-mère) m’a dit de m’asseoir. « Tu vas faire de grandes choses un jour, Annie – de très grandes choses. Mais tu ne peux pas faire de grandes choses si tu vas te sentir désolée pour elle-même. » Elle s’arrêta une seconde et elle eut l’air un peu triste. « Ton père est mon fils, mon enfant. Ce n’est pas un homme facile, mais ce n’est pas non plus un homme méchant. . Et il a toujours payé sa propre vie. C’est comme ça que sont les Hobbs – tous. Peut-être que lui et ta mère n’ont pas été trop compréhensifs avec toi, mais ils t’ont bien nourri et t’ont donné un toit. C’est plus que beaucoup n’ont… »
« Mais ils ne veulent pas vraiment de moi, Mamie.
« Oui, ils le font. Ils ne savent tout simplement pas comment le montrer. Mais peu importe. Si vous n’avez qu’une seule personne dans le monde entier qui vous aime et croit en vous, pourquoi c’est merveilleux, ne voyez-vous pas. «
Lorsqu’elle arrive enfin dans la cité minière où elle enseignera dans une classe d’un peu moins de dix enfants, Anne constate qu’elle a de nombreux ajustements à faire. Elle a très peu de fournitures, une cabane qui a besoin de beaucoup de travail pour la rendre habitable et des différences culturelles. Mais son plus grand défi (et certainement le plus grand défi pour moi, en tant que lectrice !) a été de rencontrer les préjugés contre la population indienne et les métis.
Bien sûr, tout le monde sait que les préjugés existent. Il l’a toujours été, et malheureusement, il semble qu’il sera toujours présent dans les cœurs humains qui refusent d’accepter que « tous les hommes sont créés égaux ». Mais dans ce livre, qui se déroule dans les années 1920, j’ai trouvé les circonstances et les situations décrites comme étant, eh bien, dans le langage de Jane Austen, « insupportables ».
J’ai trouvé choquant que les gens du village puissent parler si ouvertement (et brutalement) de leur mépris pour quelqu’un, simplement parce qu’ils étaient d’une race différente ! Et pire encore, que des enfants indiens puissent se voir refuser une place dans une école simplement parce qu’ils *étaient* indiens, cela m’a fait bouillir le sang (mes réactions de lecteur peuvent sembler un peu « exagérées » … mais elles prouvent aussi le talent de l’auteur. Le livre est écrit comme si vous étiez là avec Annie, en train de regarder les scènes de sa vie se dérouler et de ressentir ses émotions !)
Anne elle-même se montre résiliente, pas facilement intimidée, et démontre sa nature compatissante lorsqu’elle accueille deux enfants indiens, une décision qui n’est populaire d’aucun côté (blanc ou indien), dans le petit village. Et pour couronner le tout, Anne tombe amoureuse d’un homme moitié blanc, moitié indien.
« Il y avait une infirmière à Fort Yukon. Il y a environ un an. Elle était blanche. Elle est tombée amoureuse d’un pasteur indien, un homme vraiment bien. Tout le monde l’aimait, mais une fois ils ont découvert que lui et cette infirmière étaient amoureux l’un avec l’autre, ils leur ont rendu la vie si insupportable qu’elle est finalement sortie dehors et l’évêque a dû le transférer dans une autre paroisse. Vous voyez ce que j’essaie de dire ? »
« Non. »
Je savais qu’il le faisait pour moi et qu’il pensait que c’était la bonne chose, mais il avait tort. Et pourtant je ne savais pas comment le lui faire voir. »
Ce livre m’a fait lire jusque tard dans la nuit alors que je cherchais à découvrir comment les dilemmes d’Anne seraient résolus. Aurait-elle un quelconque effet sur le cœur des villageois ? accepteraient-ils un jour ses choix, ou perdrait-elle son emploi ? Aurait-elle même le droit d’enseigner à nouveau en Alaska ?
Les derniers chapitres ont été particulièrement excitants car les deux enfants indiens qu’Anne espère adopter lui ont été «volés» et il y a une course de chiens de traîneau et une tentative poignante de sauver une famille qui avait échoué dans la nature sauvage de l’Alaska.
Ce livre est un gardien, un pour mon étagère « à ne pas manquer » !
Pour en savoir plus sur l’histoire personnelle d’Ann Hobbs, vous pouvez lire sur sa vie plus tard ici:, et pour voir une photo du bâtiment de l’école d’origine dans laquelle elle a enseigné, allez ici:
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