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Un grand pont de pierre construit il y a trois siècles au cœur des Balkans par un Grand Vezir de l’Empire ottoman domine le décor d’Andric’s
Un grand pont de pierre construit il y a trois siècles au cœur des Balkans par un Grand Vezir de l’Empire ottoman domine le décor du magnifique roman d’Andric. Couvrant des générations, des nationalités et des croyances, le pont témoigne des innombrables vies qui s’y déroulent : Radisav, l’ouvrier, qui tente d’entraver sa construction et s’empale sur son point le plus élevé ; à la belle Fata, qui se jette de son parapet pour échapper à un mariage sans amour ; à Milan, le joueur, qui risque tout dans un dernier match sur le pont avec le diable son adversaire ; à Fedun, le jeune soldat, qui paie de sa vie un moment d’oubli printanier. La guerre détruit enfin la travée, et avec elle le dernier descendant de cette famille à qui le Grand Vezir confia la garde de son pieux legs : le pont.
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