vendredi, novembre 29, 2024

Swami et ses amis par RK Narayan

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« Il y a des écrivains — Tolstoï et Henri James pour n’en citer que deux — que nous tenons en admiration, des écrivains — Tourgueniev et Tchekhov — pour lesquels nous éprouvons une affection personnelle, d’autres écrivains que nous respectons — Conrad par exemple — mais qui nous tiennent à long sans lien de dépendance avec leur « grâce étrangère courtoise ». Narayan (que je n’hésite pas à nommer dans un tel contexte) plus qu’aucun d’entre eux éveille en moi une source de gratitude, car il m’a offert une deuxième maison. Sans lui, je n’aurais jamais pu savoir ce que c’est que d’être Indien. »—Graham Greene

Offrant un aperçu rare des complexités de la société indienne de la classe moyenne, RK Narayan retrace la vie dans la ville fictive de Malgudi. La chambre noire est un regard inquisiteur sur un mariage difficile et une femme qui finit par se rebeller contre les exigences d’être une épouse bonne et obéissante. Dans Monsieur Sampath, un journaliste essaie de maintenir son journal à flot face aux changements sociaux et économiques qui balaient l’Inde. Narayan écrit de la jeunesse et de l’âge adulte dans le semi-autobiographique Swami et ses amis et Le baccalauréat ès arts. Bien que les tensions ordinaires de la maturation soient exacerbées par les circonstances particulières de l’Inde pré-partition, Narayan offre une vision universelle de l’enfance, de l’amour précoce et du deuil.

« L’expérience de la lecture d’un de ses romans est… comparable à la première réaction que l’on a face aux grands romans russes : crépuscule vert. »—Margaret Parton, New York Herald Tribune

« Les romans de RK Narayan sont les meilleurs que j’aie lus dans n’importe quelle langue depuis longtemps. . . . Son travail donne la conviction qu’il est possible de saisir en anglais, une langue non née de l’Inde, les caractéristiques distinctives de la famille indienne la vie. »—Amit Roy, Le télégraphe du jour

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