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Orhan Pamuk est né à Istanbul et vit toujours dans l’immeuble familial où sa mère l’a d’abord tenu dans ses bras. Son portrait de sa ville est donc aussi un autoportrait, réfracté par la mémoire et la mélancolie – ou–hüzün–que tout Istanbullus partager:
Orhan Pamuk est né à Istanbul et vit toujours dans l’immeuble familial où sa mère l’a d’abord tenu dans ses bras. Son portrait de sa ville est donc aussi un autoportrait, réfracté par la mémoire et la mélancolie – ou–hüzün–que tout Istanbullus partager : la tristesse qui vient de vivre au milieu des ruines d’un empire perdu.
Avec une fluidité cinématographique, Pamuk passe de ses parents glamour et malheureux aux magnifiques manoirs décrépits surplombant le Bosphore; de l’aube de sa conscience de soi aux écrivains et peintres turcs et étrangers qui façonneraient sa conscience de sa ville.
Comme le Dublin de Joyce et le Buenos Aires de Borges, le Istanbul est une rencontre triomphale de lieu et de sensibilité, magnifiquement écrite et immensément émouvante.
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