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Fiona ne se souvient pas s’être endormie. Mais lorsqu’elle se réveille, son monde n’existe plus. Sa maison est abandonnée et brisée. Son quartier est stérile et mort. Et il y a un tatouage sur sa main droite. Un tatouage dont Fiona ne se souvient pas s’être fait… mais d’une manière ou d’une autre, elle doit le cacher à tout prix. Parce que l’humanité a été divisée.
Ceux qui portent le tatouage
Fiona ne se souvient pas s’être endormie. Mais lorsqu’elle se réveille, son monde n’existe plus. Sa maison est abandonnée et brisée. Son quartier est stérile et mort. Et il y a un tatouage sur sa main droite. Un tatouage dont Fiona ne se souvient pas s’être fait… mais d’une manière ou d’une autre, elle doit le cacher à tout prix. Parce que l’humanité a été divisée.
Ceux qui portent le tatouage sont devenus des bêtes violentes et stupides qui errent dans les rues et les égouts, s’attaquant aux non marqués, tandis que quelques privilégiés vivent protégés à l’intérieur d’un mur ressemblant à une forteresse, leur vie consacrée à reconstruire la société et à tuer tous ceux qui portent la marque.
Et Fiona s’est réveillée marquée, du mauvais côté du mur, et… normal.
De l’auteur de Déplacement vient cette remarquable réimagination de La belle au bois dormant, où la piqûre d’une abeille, plutôt que la piqûre d’une aiguille, peut détruire le monde.
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