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… ce qui n’arrange pas sa relation avec Susie :
…ainsi que la première apparition du Transmogrifier :
Mais le meilleur moment – et un candidat pour mon moment préféré dans tout C&H – est l’arc de l’histoire sur le raton laveur mourant que Calvin trouve dans les bois :
Quel monde stupide en effet. Et pourtant, « c’est un monde magique », comme le déclarera plus tard Calvin. Le co-
… ce qui n’arrange pas sa relation avec Susie :
…ainsi que la première apparition du Transmogrifier :
Mais le meilleur moment – et un candidat pour mon moment préféré dans tout C&H – est l’arc de l’histoire sur le raton laveur mourant que Calvin trouve dans les bois :
Quel monde stupide en effet. Et pourtant, « c’est un monde magique », comme le déclarera plus tard Calvin. La coexistence de ces deux déclarations est au cœur de ce qu’est C&H. Calvin est à la fois le cynique ultime et l’idéaliste ultime. Il est incroyablement imaginatif, mais il n’est « pas namby-pamby », comme le dit Pat Oliphant dans l’avant-propos. Il refuse de s’enliser dans le monde pragmatique et conformiste qui l’entoure, préférant vivre comme si les fantasmes colorés dans sa tête étaient réels. Et qui peut dire qu’ils ne le sont pas ? Mon interprétation personnelle de la bande est que Hobbes est un vrai tigre vivant et respirant, et tout le monde sauf Calvin est trop blasé pour le voir. Calvin est peut-être généralement un morveux espiègle et antisocial, mais c’est aussi un penseur profond, qui chérit le temps passé avec ses amis et s’inquiète de la mort. Watterson nous a donné un protagoniste qui est merveilleusement tridimensionnel.
Au moins, jusqu’à ce qu’il au sens propre devient bidimensionnel.
Sérieusement, arrêtez de lire cette critique et allez lire ce livre. Mais lisez-le sous la forme de L’essentiel Calvin et Hobbes, qui présente les pages du dimanche en couleur. Vous ne le regretterez pas.
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