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Jeanne Guyon commence par dire que certaines personnes croient qu’elles ne peuvent jamais être vraiment proches de Jésus-Christ et elle dit que ce n’est tout simplement pas vrai. Elle dit que cela commence par un abandon du cœur et que n’importe qui avec un cœur peut accomplir cela. Elle dit également que ce type de relation doit être centré sur la prière, mais qu’une prière de l’esprit n’est pas adéquate car les désirs égoïstes et les distractions interrompront la prière qui ne vient que de l’esprit. Guyon poursuit en disant qu’une marche plus étroite avec Jésus-Christ a un impact sur les désirs égoïstes dans la mesure où ces désirs n’ont plus l’importance qu’ils avaient autrefois si vous marchez vraiment avec Lui.
Guyon explique que la personne qui recherche diligemment une vie de prière complète finira par se perdre dans cette vie de prière. Elle avertit que cela prend une personne prête à se tourner vers l’intérieur des désirs égoïstes, et que ce retournement vers l’intérieur sera répété maintes et maintes fois, car la nature humaine est de se détourner. Elle avertit qu’il faut du temps pour créer une base solide de cette pratique et prévient qu’elle ne peut pas devenir un rituel. Elle avertit également qu’une heure ou deux par jour n’est pas suffisante, mais que cela doit devenir une condition continue.
Guyon décrit plusieurs méthodes utilisées jusqu’ici, mais souligne à plusieurs reprises que toutes impliquent d’être immobile et d’écouter. Certaines personnes doivent trouver un endroit calme loin des distractions.
Guyon dit que la lecture d’une Écriture pratique et simple est un moyen efficace de commencer le processus. Elle dit qu’il est essentiel de se rappeler que le but ultime n’est pas l’étude, mais de trouver le sens intérieur du sens, permettant à Dieu d’envoyer cette compréhension. Au plus haut niveau de repli sur soi se trouve ce que Guyon appelle « l’union divine ». Elle dit que c’est un point où la personne est complètement en harmonie avec Dieu.
Le livre de Guyon n’était pas à l’origine destiné à une diffusion générale, mais a été écrit dans les années 1600 comme guide pour quelques-uns de ses amis qui cherchaient une relation plus profonde avec le Seigneur. Le livre a finalement été utilisé pour faire arrêter Guyon, bien qu’elle ait ensuite été saluée comme l’une des femmes les plus influentes de l’église et une femme importante de l’histoire de France. Le dernier chapitre du livre est écrit par Guyon en prison alors qu’elle donne des conseils à une femme qui lui avait écrit. Dans ce passage, elle rappelle au lecteur de se nourrir du Seigneur « aussi souvent que possible ».
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