Résumé de la fin du vieux cheval et description du guide d’étude


« The End of Old Horse » est un excellent exemple du contrôle verbal discret et précis que Simon J. Ortiz exerce dans sa fiction. Principalement connu comme poète, Ortiz a travaillé dans toutes les formes de littérature depuis les années 1960. Ses histoires ont tendance à éclairer les forces émotionnelles subtiles en jeu dans de brefs moments supposés sans conséquence.

Ortiz a été élevé sur l’Acoma Pueblo au Nouveau-Mexique, et la plupart de ses écrits reflètent ce fait sans s’y attarder. Dans « The End of Old Horse », deux garçons qui grandissent dans une réserve passent une journée d’été calme et sans incident à essayer d’attraper du poisson dans un ruisseau avant que leur voisin ne s’approche pour leur dire que son chien s’est étranglé en s’efforçant trop fort contre la corde qui l’a attaché à un poteau. Le plus jeune garçon, Gilly, qui a un soi-disant goût d’adulte pour l’obscénité, tente en vain de réprimer sa colère; le garçon plus âgé, qui est le narrateur de l’histoire, se convainc presque qu’il s’en fiche. Leurs actions sont minimes, mais avec un contrôle magistral, Ortiz transmet la souffrance et la confusion d’enfants confrontés au chagrin seuls, apparemment pour la première fois.

« La fin du vieux cheval » a été inclus dans L’homme qui envoyait des nuages ​​de pluie : histoires contemporaines d’Indiens d’Amériqueédité par Kenneth Rosen et publié en 1974. Il a également été inclus dans la collection de nouvelles d’Ortiz Hommes sur la lunepublié en 1999.



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