À ma grande honte, je n’ai jamais pu jouer à Deathloop à la fin de l’année dernière. Ironiquement, pour un jeu sur une boucle temporelle sans fin, je n’ai jamais eu assez de minutes pour l’intégrer à mon emploi du temps. Mais! J’ai rectifié ça cette semaine, et cor, c’est un peu bien, non ? J’apprécie particulièrement de me laisser déchirer avec ses gros canons quand je me trompe en essayant d’être sournois. Dans ma tentative laborieuse de faire une course fantôme complètement propre et sans sang dans Dishonored 2 il y a toutes ces années, j’avais en quelque sorte oublié à quel point l’œil pour l’action d’Arkane Lyon est vraiment satisfaisant, et j’ai eu beaucoup de amusant de redécouvrir cela alors que je me promène dans les quatre principaux sites de Blackreef.
Comme on peut s’y attendre d’un jeu Arkane, chacune de ces cartes est absolument énorme, pleine de coins et de recoins et de passages secrets qui ne demandent qu’à être exploités alors que vous essayez d’abattre tous ses chefs de culte éternalistes un peu fous en un seul cycle . Mais la chose qui m’a le plus intrigué dans Deathloop jusqu’à présent n’est pas ses étranges trous de cubby ou la façon dont les cartes changent avec le temps. Ce sont toutes ces superbes armoires d’arcade qui jonchent l’endroit. Et certains d’entre eux regardent très familier en effet…