dimanche, novembre 24, 2024

Souhaits de la Saint-Valentin vintage – The New York Times

À la fin du 19e et au début du 20e siècle, le quotidien et la revue de livres débordaient de publicités pour les cartes de la Saint-Valentin.

Crédit…Le New York Times

En février 1904, la revue de livres examina certaines des cartes et des bibelots en personne et trouva beaucoup à aimer, à commencer par un cœur doré sur le thème de Robin Hood arborant les lignes « J’ai perdu mon cœur, et maintenant je me languis/Pour le tien ». , ma chère Valentine. Une deuxième carte, ressemblant à une étiquette d’expédition, montrait Cupidon coiffé d’une casquette d’expressman : « Je t’aime, ma chérie, et je dois l’avouer, / Donc, par ce Cupidon, je l’exprime. »

Certaines cartes auraient tout aussi bien pu être des proto-emojis. L’un montrait « la perspective succulente d’une pêche (surmontée d’un Cupidon) et juste les mots ‘My Valentine' », note l’histoire. “Encore un autre, en forme de cœur et rouge, porte des images de cartes à jouer (pour être précis, une « couleur éclatée » dans les cœurs) et un cigare fumant confortablement à côté.” Le journaliste a été très impressionné par une carte qui représentait « une tortue délibérée surmontée du Dieu de l’Amour et ainsi pudiquement inscrite : ‘Je ne pense pas avoir besoin d’en dire plus ;/Mon amour est lent, mais c’est quand même sûr' ». , une carte pour les « téméraires et confiants » comportait un oiseau dodu et la rime, « Dearest Valentine —/If you say no! et lâche-moi,/Tu seras une très grosse oie.

source site-4

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