Route de trois jours par Joseph Boyden


Spoilers possibles……
Les Indiens d’Amérique et la Première Guerre mondiale… il est étrange de penser que ces deux sujets, chacun écrit de manière exhaustive à la fois dans la fiction historique et dans la non-fiction, pourraient être réunis dans un seul livre,

Je ne savais pas auparavant que les Indiens d’Amérique avaient combattu aux côtés de nos alliés dans cet horrible conflit, mais une fois de plus, Historical Fiction s’est avéré instructif et instructif, m’envoyant en savoir plus sur le rôle que ces hommes ont joué dans la Grande Guerre.
j’ai trouvé plein de

Spoilers possibles……
Les Indiens d’Amérique et la Première Guerre mondiale… il est étrange de penser que ces deux sujets, chacun écrit de manière exhaustive à la fois dans la fiction historique et dans la non-fiction, pourraient être réunis dans un seul livre,

Je ne savais pas auparavant que les Indiens d’Amérique avaient combattu aux côtés de nos alliés dans cet horrible conflit, mais une fois de plus, Historical Fiction s’est avéré instructif et instructif, m’envoyant en savoir plus sur le rôle que ces hommes ont joué dans la Grande Guerre.
J’ai trouvé beaucoup de lectures supplémentaires, et quelques photographies qui ont rendu l’histoire de Xavier et Elijah, des Indiens Oji-Cris devenus tireurs d’élite dans les tranchées, semblent d’autant plus réelles.

J’ai lu beaucoup de livres sur la Première Guerre mondiale…. le sujet me rappelle encore et encore.
Ces livres sont toujours lourds, je pense, mais je pense qu’ils sont importants, dans la mesure où cela signifie que les sacrifices consentis par tant de personnes dans cette terrible guerre ne seront pas oubliés.
Parmi les nombreux livres que j’ai lus sur le sujet, qui m’ont tous horrifié de manière légèrement différente, celui-ci m’a particulièrement affecté dans la façon dont il décrit le rôle du tireur d’élite, donnant l’impression que c’était en quelque sorte, un concours, une sorte de sport…..cela m’a à la fois choqué et dégoûté….ennemi ou pas, ce sont des êtres humains qui sont la cible de ces tireurs d’élite…..toutes les tueries qui ont eu lieu dans le Les tranchées de la Grande Guerre étaient méprisables, mais ce jeu de tir rapproché et personnel semblait en quelque sorte le pire de tous.

Les horreurs de la guerre des tranchées ont sûrement dû avoir un effet déshumanisant sur certains hommes, car ils étaient poussés à la limite de l’endurance… et au-delà.
Les deux amis avaient chassé des animaux, et j’ai l’impression qu’ils… l’un d’eux en particulier… appliquaient ces tactiques, en plus, les traitaient comme un jeu d’adresse et de furtivité contre l’ennemi, qui n’était plus rien plus que des cibles pour eux.

Je vais être honnête et admettre qu’il y a eu plusieurs fois où j’ai pensé que je pourrais ne pas finir ce livre, non pas parce que je n’aimais pas l’écriture, et certainement pas parce que je n’aimais pas les personnages principaux, mais parce que il était si difficile d’être continuellement bombardé de descriptions aussi graphiques, troublantes et déchirantes des horreurs de la Première Guerre mondiale…… mais, il y a une autre histoire qui se déroule alors que le lecteur fait face à l’horreur des tranchées…. .deux hommes partent en guerre, mais un seul revient, profondément blessé au corps et à l’âme, et il rencontre peut-être le meilleur personnage du livre, Niska, la dernière femme Oji-Cree à vivre de la terre de la tribu, un personnage profondément spirituel femme qui a hérité des dons mystiques de ses ancêtres, et qui doit creuser profondément le voyage de trois jours qu’elle entreprend pour essayer de ramener Xavier chez lui, sa santé et sa raison…..c’est cette merveilleuse histoire qui m’a définitivement retenu en train de lire.

Ce livre est allé au plus profond de ce que ce conflit pouvait faire à un homme, et a exploré des thèmes très sombres… et pour être honnête, mon sentiment est qu’il y avait un peu plus de cela qu’il n’était peut-être totalement nécessaire. ….c’est pourquoi ma note est de quatre étoiles au lieu de cinq.

Je suis content de l’avoir lu, cependant, c’était parfois difficile à lire, mais finalement ça valait vraiment la peine de l’effort émotionnel.
Peut-être que l’auteur a légèrement exagéré ses descriptions répétées des horreurs, parfois un peu moins peut être plus, et il est triste de penser que certains lecteurs ont été rebutés de terminer cet excellent livre, mais je suis d’accord avec d’autres membres de notre groupe qui ont lu cela, que cet auteur voulait faire cela, c’est ainsi qu’il sentait qu’il avait besoin de décrire les conditions terribles, désespérées et inimaginables auxquelles ces hommes étaient confrontés et les choses épouvantables qu’ils se sont retrouvées à faire.
Je suis très contente d’avoir lu ce livre… qui ne s’oublie pas facilement.



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