Nuit sans fin par Agatha Christie

Gipsy’s Acre était un site de montagne vraiment magnifique avec une vue sur la mer – et chez Michael Rogers, il a suscité un fantasme enfantin. Là, parmi les sapins sombres, il projetait de construire une maison, de trouver une fille et de vivre heureux pour toujours. Pourtant, alors qu’il quittait le village, une ombre de menace planait sur la terre. Car c’était là que se produisaient les accidents. Peut-être que Michael aurait dû tenir compte des avertissements des habitants : « Il n’y a pas de chance pour eux de se mêler de Gipsy’s Acre. » Michael Rogers est un homme qui est sur le point d’apprendre le vrai sens du vieil adage « A ma fin est mon commencement ».

Le titre Endless Night est tiré des Auguries of Innocence de William Blake et décrit le thème préféré de Christie dans le roman : un personnage « tordu », qui choisit toujours le mal plutôt que le bien.

Christie a terminé Endless Night en six semaines, par opposition aux trois-quatre mois que la plupart de ses autres romans ont pris. Bien qu’elle ait soixante-dix ans au moment de l’écrire, elle a dit à un intervieweur qu’être Michael, le narrateur d’une vingtaine d’années, « n’était pas difficile. Après tout, vous entendez des gens comme lui parler tout le temps.

Le livre est dédié à la parente de Christie « Nora Prichard de qui j’ai entendu pour la première fois la légende de Gipsy’s Acre ». Gipsy’s Acre était un champ sur les landes galloises.