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Sherwood Anderson a publié les premières versions de « Death in the Woods » sous forme de croquis dans Une histoire – L’histoire d’un conteur (1924) et comme chapitre de son autobiographie Tar : une enfance dans le Midwest (1926). Il a travaillé périodiquement sur « Death in the Woods » pendant neuf ans avant de le publier sous sa forme finale en tant qu’histoire principale de sa collection de 1933. Mort dans les bois et autres histoires.
Selon de nombreux critiques, les pouvoirs artistiques d’Anderson déclinaient à ce stade de sa carrière; pourtant « Death in the Woods » se démarque comme un chef-d’œuvre, parallèlement à l’éclat des histoires recueillies dans son œuvre la plus connue, Winesburg, Ohio.
« Death in the Woods » raconte l’histoire d’une simplicité trompeuse de la vie et de la mort d’une fermière pauvre et opprimée. Le narrateur, un adolescent à l’époque de ces événements, observe son cadavre – un moment formateur dans son développement en tant qu’homme et artiste. Il rassemble les morceaux de son histoire, qui prend un sens mystérieux et mythique alors qu’il y repense des années plus tard.
« Death in the Woods » illustre le style d’écriture épuré d’Anderson et son ton sombre et doux-amer. L’histoire est surtout remarquable pour la simplicité austère de son sujet et la complexité contrastée de sa narration consciente de soi.
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