mardi, décembre 24, 2024

Dearly Résumé et description du guide d’étude

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La version suivante de ce livre a été utilisée pour créer le guide : Atwood, Margaret. Chèrement. HarperCollins, 2020.

Le recueil de poésie de Margaret Atwood, Dearly, est divisé en cinq sections numériques. Bien que toutes les sections soient sans titre, les poèmes regroupés en leur sein explorent de manière tangentielle un thème général commun. Les sections agissent à la fois comme des conteneurs pour les poèmes et tracent structurellement leurs propres évolutions thématiques, travaillant ainsi en tandem avec les explorations centrales de chaque poème individuel.

Dans la section I, l’auteur explore le passage rapide du temps. La pièce d’ouverture, « Late Poems », est une méta référence à la collection dans son ensemble. L’orateur décrit tous les poèmes à venir comme des messages différés d’une époque à l’autre. Dans les poèmes qui suivent « Late Poems », l’auteur examine plus en détail la manière dont le passé a pris sur l’individu. Par le dernier poème de la section, « S’il n’y avait pas de vide », l’orateur fait l’éloge du passé, du présent et du futur, heureux des histoires que ces liens créent.

Dans la section II, l’auteur examine les façons dont l’instinct humain a façonné les attitudes culturelles envers le sexe et le genre pendant des siècles. Les premiers poèmes de cette section dépeignent le corps féminin comme innocent et fragile, tandis que l’orateur reconnaît également la façon dont les attentes culturelles ont toujours limité les possibilités des femmes. Dans cette section, l’auteur combine des images de sexe animal, de princesses de contes de fées, d’amants infidèles et de femmes guerrières exhumées afin de façonner un commentaire complexe sur la féminité et la violence sexuelle. Dans certains poèmes, l’orateur examine la nature et l’histoire pour comprendre le présent. Dans d’autres poèmes, elle chante des odes aux femmes qui ont souffert d’abus sexuels.

Les poèmes rassemblés dans la section III exposent l’immuabilité de la condition humaine. En mariant des images de champignons mystérieux et de citrouilles pourries à celles de la guerre des drones, des incendies de forêt et des invasions extraterrestres, l’auteur considère la nature prophétique de la fiction et du mythe. Dans « September Mushrooms », l’auteur écoute les champignons pour un présage de l’avenir. Dans « Aflame », l’orateur considère les incendies de forêt d’automne à la fois comme de vieilles prophéties qui se réalisent et comme la préfiguration d’un avenir encore plus sombre. Les extraterrestres dans « The Aliens Arrive », la sirène dans « Siren Brooding on Her Eggs » et l’araignée dans « Spider Signatures », ont également tous des messages pour l’orateur. Chaque personnage fictif ou créature vivante, chaque conte de fées oublié, est une leçon dont les humains pourraient tirer des leçons s’ils y prêtaient attention.

Les poèmes regroupés dans la section IV s’inspirent des images de la section précédente, alors que l’auteur examine plus en détail la relation dévolue des humains avec le monde naturel. L’orateur de « Walking in the Madman’s Wood », « Feather », « Fatal Light Awareness », « Fear of Birds » « et « Short Takes on Wolves », s’adapte aux scènes, aux sons et aux créatures sauvages de afin de mieux les comprendre. Dans les bois, elle se rend compte qu’avant que les humains ne revendiquent la terre, la forêt était une créature vivante et dangereuse avec sa propre identité et ses propres capacités. En récoltant une plume et en la transformant en plume, l’orateur refuse de laisser la vie d’un oiseau mort est gâchée. Le milieu de la section change de ton, alors que l’oratrice semble devenir de plus en plus dégoûtée par la pollution et la destruction qu’elle voit tout autour d’elle. L’ignorance et la cupidité humaines ont transformé la planète en un endroit aride et inhospitalier qui ressemble soudain à un cimetière.

Dans le dernier groupe de poèmes trouvés dans la section V, l’auteur combine des images du corps jeune et vieillissant pour considérer la nature douce-amère du vieillissement. Dans certains de ces articles de conclusion, l’oratrice décrit longuement son physique vieillissant, décrivant son corps comme une prison dont elle aspire à être libérée. Dans d’autres, le locuteur cherche à se réconcilier avec son passé, son présent et son avenir imminent et inéluctable. Dans « Sad Utensils », « Disenchanted Corpse » et le poème titre du recueil, « Dearly », l’orateur pleure particulièrement l’évolution du langage. Sans la langue de son passé, elle ne sait plus comment traduire ses expériences vécues à la prochaine génération. Dans le poème final, « Blackberries », cependant, l’orateur adopte un ton plus résigné, mais reconnaissant. Elle n’a pas peur de la mort et est heureuse de la vie qu’elle a vécue, de la sagesse qu’elle a acquise.

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