La fin de l’affaire de Graham Greene


« Une histoire n’a ni début ni fin : on choisit arbitrairement un moment d’expérience à partir duquel regarder vers l’avenir… »

« C’est un record de haine bien plus que d’amour », écrit Maurice Bendrix dans les premiers passages de La fin de l’affaire, et c’est en effet une haine étrange qui l’oblige à dresser le récit rétrospectif de sa liaison adultère avec Sarah Miles.

Maintenant, un an

« Une histoire n’a ni début ni fin : on choisit arbitrairement un moment d’expérience à partir duquel regarder vers l’avenir… »

« C’est un record de haine bien plus que d’amour », écrit Maurice Bendrix dans les premiers passages de La fin de l’affaire, et c’est en effet une haine étrange qui l’oblige à dresser le récit rétrospectif de sa liaison adultère avec Sarah Miles.

Aujourd’hui, un an après la mort de Sarah, Bendrix cherche à exorciser la persistance de sa passion en retraçant son parcours de l’amour obsessionnel à l’amour-haine. Au début, il croit qu’il déteste Sarah et son mari, Henry. Pourtant, alors qu’il approfondit son point de vue émotionnel, la haine de Bendrix se déplace vers le Dieu qui, selon lui, a brisé sa vie, mais dont l’existence est enfin reconnue.



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