mercredi, janvier 15, 2025

Daniel Craig réagit à l’avis de la génération Z sur son film audacieux ‘Queer’ : ‘Il n’y a pas de règles’

Daniel Craig défend les scènes érotiques de son film, *Queer*, face aux critiques de la génération Z. Avec son coéquipier Drew Starkey, ils estiment que ces séquences sont cruciales pour l’intrigue. Craig évoque l’importance de l’authenticité, refusant de se conformer aux attentes. Le film, inspiré d’une novella de William S. Burroughs, explore des thèmes d’addiction et de relations intenses, où Craig incarne un homme en fuite, confronté à ses propres démons.

Daniel Craig S’Exprime sur les Scènes Érotiques de son Nouveau Film

Le célèbre interprète de James Bond, Daniel Craig, affirme qu’il ne se laisse pas troubler par les critiques des cinéphiles de la génération Z concernant les scènes de sexe entre hommes dans son dernier long-métrage, Queer.

Avec son coéquipier Drew Starkey, ils partagent l’idée que ces scènes sont essentielles à l’intrigue et qu’ils ne se préoccupent guère des réactions de la génération Z. Starkey résume : « Je ne suis pas sûr que ce soit vrai. Peut-être qu’il y a juste une voix plus forte en ligne. »

L’Authenticité au Coeur du Film

En réponse à une étude de l’UCLA de 2023 qui révèle que les jeunes montrent un rejet des scènes de sexe au cinéma, Craig, âgé de 56 ans, a déclaré : « Je ne peux pas vraiment parler à cette génération. »

Concernant les scènes intimes de son film, il a ajouté : « Il faut parfois laisser son ego de côté. Il n’y a pas de règles à suivre. »

Starkey, 30 ans, a souligné : « C’est ce que j’ai appris en travaillant avec vous. Il n’y a pas d’ego ici. Je n’ai jamais vu un acteur aussi libéré. »

Ce nouveau projet, réalisé par Luca Guadagnino, s’inspire de la novella de William S. Burroughs, publiée en 1985, qui explore ses propres expériences avec l’héroïne et une relation amoureuse intense avec un homme.

Dans ce film, Craig incarne William Lee, un homme en fuite après une descente de police, qui croise le chemin d’Eugene Allerton (Starkey), un personnage mystérieux et séduisant.

Le montage initial du film a duré trois heures et demie avant d’être réduit à 135 minutes. Starkey a exprimé son étonnement face à l’engouement suscité : « C’est vertigineux. Je suis simplement reconnaissant d’être ici, même si tout cela semble fou. »

Pour garantir une représentation authentique de l’addiction, Craig a consulté un expert sur le plateau. Il a insisté sur l’importance de dépeindre le personnage de manière réaliste, sans le réduire à un stéréotype de toxicomane désespéré.

Il a précisé : « Nous ne voulions pas que ce film soit centré sur le sevrage. Cela doit simplement faire partie de l’histoire. » Bien que Lee ne soit pas un addict secret, la gravité de ses problèmes de dépendance surprend Eugene. « Il est un être humain fier qui ne veut pas montrer ses faiblesses, » conclut Craig.

- Advertisement -

Latest