lundi, octobre 28, 2024

Le directeur de « i,Robot » accuse Elon Musk d’avoir repris ses idées pour les nouveaux robots, fourgonnettes et autres Tesla : « Hé Elon, puis-je récupérer mes créations s’il vous plaît ? Plus de Variety Les plus populaires À lire absolument Inscrivez-vous aux newsletters Variety Plus de nos marques

Jeudi, le co-fondateur et PDG de Tesla, Elon Musk, a dévoilé un aperçu tant attendu de l’avenir avec des modèles pour ses nouveaux prototypes autonomes : le cybercab et le robovan. Le nouveau robot Tesla Optimus était également présent à la célébration, servant des boissons et interagissant avec la foule.

Que le robot Optimus soit réellement entièrement autonome ou plutôt manipulé à distance est (très) discutable.

Cependant, une personne qui semblait assez certaine de l’origine de ces créations était le réalisateur de « Moi, Robot », Alex Proyas. Le réalisateur a publié sa plainte directement sur le réseau social préféré de Muskc, X, en commentant : « Hé Elon, puis-je récupérer mes créations s’il vous plaît ? »

Le message contenait des images côte à côte de la force de police autonome de « Moi, Robot » à côté du robot Optimus, du transport dans le film de 2004 à côté du robot van de Tesla et d’une voiture futuriste du film de Proyas à côté du cybercab.

Le film de 2004 avec Will Smith se déroule dans le monde futur de Chicago en 2035, inspiré du recueil de nouvelles de 1950 du célèbre auteur de science-fiction Isaac Asimov. L’intrigue est centrée sur un détective (Smith) essayant de démêler un meurtre déroutant qui peut ou non avoir été causé par un membre de la police autonome nommé Sonny (joué par Alan Tudyk).

Une telle action devrait être impossible car tous les robots du futur sont régis par le trope de science-fiction, « les trois lois de la robotique ». Loi numéro un, un robot ne peut pas blesser un être humain. Loi numéro deux, un robot doit obéir aux ordres donnés par les humains sauf s’ils entrent en conflit avec la première loi. conflit avec la Première Loi. Et loi numéro trois, un robot doit se protéger s’il n’entre pas en conflit avec la première ou la deuxième loi. Mais voici le problème : le détective déteste les robots et leurs lois stupides, il est donc fou que lui seul soit chargé de résoudre cette affaire.

Mieux connu pour son travail de réalisation de « The Crow » (la version de 1994) et du film « Dark City » de 1998, Proyas a récemment écrit ses réflexions sur l’IA et l’industrie cinématographique en général pour son compte Patreon et est actuellement en production pour un autre film de science-fiction. le film « RUR »

Source-111

- Advertisement -

Latest