« Creusez le bordel! »: Connor McDavid déchire ses coéquipiers des Oilers d’Edmonton dans une diatribe épique et désormais virale

Contenu de l’article

Voulez-vous voir l’intensité qu’il faut pour gagner dans la Ligue nationale de hockey ?

Connor McDavidLa diatribe épique de , capturée pour une production Amazon Prime qui sortira le 4 octobre, est un indicateur authentique et sans fard.

La LNH n’est évidemment pas une ligue pour ceux qui ont besoin de beaucoup de soutien et de réconfort.

Greg Wyshynski d’ESPN s’est rendu sur Twitter X pour proposer son résumé de ce qu’il a vu de la série :

Nous obtenons un côté très différent de Oilers d’Edmonton étoile Connor McDavid sur « FACEOFF : Inside the NHL », qui sera présenté en première vendredi.
* McDavid s’effondre en pleurant dans les vestiaires après le match 7 du SCF. RNH se frotte le cou. Draisaitl se tape la cuisse pour dire que tout va bien. Puissant.
* C’est déjà viral, mais le moment où Connor McDavid illumine ses coéquipiers – « C’est la f-king finale ! Creuser. Le f-k. Dans. C’est vrai, putain de roi maintenant ! – c’est vraiment quelque chose. Plus d’émotion dans ces 15 secondes que ce que nous aurions pu en voir en 9 saisons.
* Quelques superbes scènes avec Connor McDavid à la maison avec Lauren Kyle, qui fait peut-être la plus grande révélation de la série : « Connor a peur du ketchup. »
Leur chef personnel lui glisse ses bouteilles de ketchup à table quand il ne regarde pas.
* Le PDG des EdmontonOilers, Jeff Jackson, s’inquiète de la réaction à la franchise de Connor McDavid dans la série PrimeVideo NHL : « Je ne sais pas comment vous pourriez avoir du chagrin en montrant de l’émotion à l’idée de vouloir tellement gagner, et c’est ce que font les grands leaders. »

Contenu de l’article

Mon avis

1. Pas de surprises ici. Bien sûr, les choses s’échauffent aux plus hauts niveaux de performances. Ils l’ont toujours fait et le feront toujours.

2. Je ne suis pas ici pour vous dire que ce niveau d’intensité convient à tous les niveaux sportifs. Ce n’est pas le cas. Ce n’est pas bon pour les équipes de hockey mineur ou pour les ligues de bière pour adultes. Ce n’est pas bon pour nos salles de classe. Les gens ont besoin de soutien, de formation et d’encouragement. Les commentaires négatifs peuvent être une malédiction pour les enfants dont ils ne se remettront peut-être jamais. Mais je suis ici pour vous dire qu’il y a un lieu et un moment pour une diatribe aussi colérique et épique. Et le timing de McDavid était parfait.

3. Nous vivons dans un monde désormais dominé par la politesse et la sécurité, le bien-être et l’équité. Nous vivons dans un monde de rubans de participation, où l’inflation des notes est la norme et où le « rôle d’honneur » réservé aux élèves les plus performants a été supprimé dans de nombreuses écoles, de peur que quiconque ne soit blessé.

Contenu de l’article

Mais le sport d’élite reste ce qu’il a toujours été, un lieu où règnent encore les valeurs classiques du travail acharné, de la compétitivité et parfois d’une intensité féroce. Il est intéressant de constater que le sport professionnel continue de jouir d’une telle popularité dans ce monde moderne. Cela en dit long sur ce que nous admirons et croyons tous encore, par opposition à ce que nous prétendons constamment admirer et croire sur les réseaux sociaux.

Nous n’avons pas encore perdu ce côté féroce de nous-mêmes, du moins beaucoup d’entre nous ne l’ont pas perdu, avec Connor McDavid en tête.

4. La diatribe de McDavid semble être survenue après que les Oilers ont perdu le deuxième match en Floride, juste avant de perdre le troisième match à Edmonton, puis de pousser la série à sept matchs en enchaînant trois victoires consécutives. Je suis heureux de voir que McDavid a ce genre de férocité en lui. Il n’y a aucune chance que lui ou son équipe aient presque remporté la Coupe lors du septième match s’il n’en avait pas eu. Bien sûr, il ne serait pas devenu le joueur qu’il est sans ce feu qui brûle si fort dans sa tête et dans son cœur. C’est un joueur de hockey dur, ce qui le rend, ainsi que les Oilers, si difficiles à battre.

Partagez cet article sur votre réseau social

Source link-19