Contenu de l’article
Un prêtre à la retraite de l’Église d’Angleterre est décédé à la suite d’une nuit de relations sexuelles et de drogue avec un pasteur belge.
Publicité 2
Contenu de l’article
Père Andrew Wagstaff, 69 ans, avait passé la soirée avec un confrère religieux dans un presbytère de Kalmthout, en Belgique, le Courrier quotidien signalé.
Wagstaff a été ordonné il y a trente ans et était l’aumônier bien-aimé de l’église Saint-Boniface, à proximité d’Anvers, jusqu’à sa retraite plus tôt cette année.
Lui et le religieux belge, identifié uniquement comme le pasteur B., auraient pris de la drogue ensemble et eu des relations sexuelles, après quoi le Britannique ne se sentait pas bien, a indiqué le parquet.
Contenu de l’article
Peu après minuit, le pasteur a contacté les secours, mais ceux-ci n’ont pas réussi à réanimer son compagnon.
« Il semble que les deux hommes aient (prétendument) consommé de l’ecstasy et du poppers ensemble et eu des relations sexuelles », a déclaré samedi le bureau du procureur aux médias locaux.
« Deux pilules d’ecstasy ont également été trouvées », ont-ils ajouté.
Contenu de l’article
Publicité 3
Contenu de l’article
VIDÉO RECOMMANDÉE
Les poppers sont des « drogues de fête » composées d’un groupe de produits chimiques que les gens inhalent pour planer et provoquent une brève poussée d’euphorie ou de relaxation musculaire, et sont souvent utilisés pendant les rapports sexuels.
« Des traces de stupéfiants ont été trouvées sur le corps de la victime », a déclaré Kristof Aerts, du parquet d’Anvers, selon le parquet. Mail.
Contenu de l’article
Le Belge de 60 ans a été arrêté et fait face à des accusations de « trafic de stupéfiants ayant entraîné la mort ».
L’enquête est en cours et l’autopsie initiale n’a pas pu fournir de preuves concluantes sur la cause du décès.
Le séjour du pasteur en Belgique devait coïncider avec la visite du pape François dans le pays.
Le pape a terminé son week-end en Belgique, où le roi Philippe et le Premier ministre Alexander De Croo a fustigé le pontife dans leurs discours de bienvenue respectifs pour l’héritage de l’Église catholique consistant à dissimuler les cas d’abus sexuels du clergé, ainsi qu’à ne pas en faire assez pour soutenir les femmes et la communauté LGBTQ+ dans l’Église.
Publicité 4
Contenu de l’article
Recommandé par l’éditorial
-
L’avocat du pasteur d’une méga-église en disgrâce a un jour blâmé la victime de 12 ans pour des allégations d’abus sexuels
-
Le clergé français a abusé sexuellement de plus de 200 000 enfants depuis 1950, selon une enquête
-
Le pape déclare que les abus sexuels sont « démoniaques » alors qu’il s’exprime sur un nouveau scandale dans l’Église française
Le pape François a exprimé ses remords après avoir été interpellé, a demandé pardon et a promis de faire tout son possible pour que de tels abus ne se reproduisent plus.
« C’est notre honte et notre humiliation », a-t-il déclaré lors de ses premiers propos publics sur le sol belge, le Presse associée signalé.
Le scandale des abus reste vif en Belgique, où les révélations d’abus et les dissimulations systématiques ont dévasté la crédibilité de la hiérarchie pendant des décennies, contribuant au déclin général du catholicisme et de son influence.
Le pape a exhorté les gens à s’exprimer quand il s’agit de ce genre de violence.
« Il n’y a pas de place pour les abus. Il n’y a pas de place pour dissimuler les abus », a déclaré le pape.
« Je demande à tout le monde de ne pas dissimuler les abus », a-t-il poursuivi. « Je demande aux évêques de ne pas dissimuler les abus. »
Contenu de l’article