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La version suivante de ce livre a été utilisée pour créer ce guide : Tan, Shaun. L’arrivée. Livres d’Arthur A. Levine, 2007.
L’intrigue du roman est entièrement définie par des éléments visuels, car le récit est sans paroles. Les graphismes de Tan reflètent un style artistique réaliste et sont définis dans des tons de marron, sépia, or, noir et gris. Au début du roman, les lecteurs voient un homme sans nom vivant dans un pays sans nom, qui semble se dérouler dans les temps modernes.
L’homme sort de chez lui aux côtés de sa femme et de sa fille, et tous trois se dirigent vers une gare. En arrière-plan, de grandes tentacules pointues surplombent la ville. La fille regarde vers le haut avec un air inquiet, alors l’homme lui fabrique un oiseau en origami pour la consoler. Il fait ensuite ses adieux sincères à sa femme et à sa fille et monte seul dans le train.
L’homme traverse la mer à bord d’un bateau, aux côtés de centaines d’autres réfugiés. Le navire atteint finalement un nouveau pays, où l’homme doit s’installer. Il fait la queue avant de franchir les portes de la ville, tout en remarquant que les panneaux autour de lui sont tous écrits dans une langue qu’il ne comprend pas. Finalement, la valise et le corps de l’homme sont fouillés. Il passe ensuite par le processus monotone consistant à remplir des formalités administratives jusqu’à ce qu’il reçoive enfin son propre dossier personnel.
L’homme se rend vite compte que, ne parlant pas la langue de la ville, il ne peut communiquer avec aucun de ses habitants. Cependant, à l’aide de quelques dessins de son carnet, l’homme parvient à trouver quelqu’un qui puisse lui montrer où se trouve un complexe d’appartements. L’homme s’assure avec impatience une chambre.
A l’intérieur de son nouvel appartement, l’homme remarque un pot au milieu de la pièce. Il l’ouvre et trouve une grande créature ressemblant à une souris qui se repose à l’intérieur. La créature commence à suivre l’homme partout, mais il n’y prête pas beaucoup d’attention.
Alors que l’homme part faire quelques courses, la créature continue de le suivre. En chemin, l’homme rencontre une gentille femme, qui révèle qu’elle est également une immigrée. Lorsqu’elle était plus jeune, elle a été contrainte à l’esclavage, travaillant comme chauffeur à bord d’un train. Cependant, elle a pu se faufiler et lire le soir, car elle cherchait désespérément à recevoir une éducation.
À l’épicerie, l’homme rencontre un autre immigrant. Cet homme, qui est épicier, révèle que son pays a été ravagé par des hommes géants armés de lance-flammes. Il a fui la destruction avec sa femme en empruntant un système de tunnels souterrains et a réussi à s’échapper de son pays sur une barque.
Le lendemain, l’homme se met à la recherche d’un emploi avec la créature fidèle à ses côtés. Il est d’abord rejeté par de nombreuses personnes, mais parvient finalement à trouver du travail. Cependant, en raison de la barrière linguistique entre l’homme et les habitants de la ville, il commet de nombreuses erreurs et est licencié. En fin de compte, l’homme parvient à trouver un emploi dans une usine aux côtés de nombreux autres immigrants. Le travail est fastidieux, mais l’homme parvient rapidement à se lier d’amitié avec l’un des autres ouvriers de l’usine.
Le nouvel ami de l’homme, un ouvrier d’usine âgé, partage son expérience de réfugié. Lorsqu’il était beaucoup plus jeune, l’ouvrier d’usine était soldat. Après avoir combattu dans de nombreuses batailles, il s’est retrouvé avec des camarades morts, une jambe amputée et un village détruit.
Plus tard, l’homme écrit une lettre à sa famille. Il met un oiseau en origami dans l’enveloppe, ainsi qu’un peu d’argent. Au moins deux années s’écoulent après ce moment, puisque c’est maintenant l’hiver. L’homme regarde par la fenêtre et voit un compartiment flottant dans le ciel, qui transporte sa femme et sa fille. La famille se réunit dans une immense et heureuse étreinte.
Le roman se termine alors que l’homme vit désormais dans son nouveau pays aux côtés de sa famille. La créature et la fille deviennent rapidement amies lorsqu’elles courent ensemble dans la neige. Alors que la fille est dehors, elle aperçoit une jeune femme qui regarde confusément une carte. La fille propose son aide à la jeune femme, évoquant tous ceux qui ont aidé son père lors de son premier émigré au pays.
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