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Le Bureau d’assurance du Canada affirme que l’été 2024 est désormais la saison la plus destructrice jamais enregistrée au Canada en termes de pertes assurées dues à des événements météorologiques violents.
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Le bureau estime que les dommages causés par un groupe de tempêtes et d’incendies de forêt s’élèvent à un total de 7 milliards de dollars en pertes assurées, dépassant le coût de 6,2 milliards de dollars de l’incendie de forêt de Fort McMurray, en Alberta, en 2016.
C’est dix fois plus que les 701 millions de dollars moyens par an pour les pertes causées par les intempéries entre 2001 et 2010.
La présidente de l’IBC, Celyeste Power, a déclaré que les feux de forêt à Jasper, en Alberta, les inondations dans le sud de l’Ontario et du Québec, ainsi qu’une tempête de grêle en Alberta ont entraîné environ 228 000 réclamations d’assurance, ce qui représente une augmentation de 406 % par rapport à la moyenne des deux dernières décennies.
L’agence demande aux gouvernements provinciaux et fédéral de réagir aux changements climatiques comme à une crise et de collaborer pour réduire les risques de catastrophe.
Selon le bureau, les conditions météorologiques extrêmes survenues en 2023 ont causé plus de 3,1 milliards de dollars de dommages assurés au Canada.
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